1. Monsieur Ferdinand est économe


    Datte: 24/10/2018, Catégories: fh, hplusag, magasin, strip, BDSM / Fétichisme Humour Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... fille, mademoiselle Thérèse, à la messe pour ses dévotions dominicales. Cela l’enchante. Ce n’est de loin pas la perspective de devoir subir la logorrhée insipide d’un prélat qui l’enchante. Non, c’est plutôt le laps de temps qu’il y a entre la messe et le repas. Il va inviter mademoiselle Thérèse, avec la bénédiction de ces dames, à une promenade sur le mail. Il l’a parcouru plusieurs fois. À mi-chemin, il y a sur la droite un bosquet avec une cabane abandonnée. L’endroit est des plus discrets. Avec un peu d’habileté et l’air de rien, il peut y entraîner la jouvencelle. Une fois sur place, il doit bien y arriver.
    
    Il faut qu’il tâte le sein de mademoiselle Thérèse !
    
    Mademoiselle Thérèse est satisfaite. Sa maman a accédé à sa proposition sans rechigner, même avec enthousiasme. Elle a trouvé cela curieux. En ce dimanche, elle est bien sûr obligée d’assister à l’office religieux. Une demoiselle qui n’y irait pas serait tout de suite déconsidérée. Cela ne l’intéresse absolument pas, mais il faut qu’elle garde sa réputation intacte jusqu’à ce que…
    
    Elle est aussi très contente de la proposition de monsieur Ferdinand de l’y accompagner. Elle a une idée : et si, après cette messe, elle l’entraînait sur le mail pour une promenade apéritive ? Elle connaît bien cette cabane abandonnée où elle s’est donnée au Petit Louis. Peut-être que…
    
    Il faut qu’elle couche ce dimanche avec monsieur Ferdinand.
    
    Monsieur Ferdinand est très satisfait d’avoir à son bras mademoiselle Thérèse ...
    ... pour aller à l’office. Toute la ville les a vus et approuve. Les regards de toutes ces rombières et de tous ces caciques les ont jaugés. Ils sont parfaits. Ils correspondent à ce que doit être un jeune couple. Les comices bourgeois donnent leur bénédiction.
    
    À l’issue de la messe, il propose cette promenade à la demoiselle et elle accepte avec joie. Ils devisent tout en marchant. La cabane approche. Il hésite, il n’ose pas. Pourtant il a cru sentir de la part de sa compagne comme une attraction. Doit-il ? Ne doit-il pas ? La cabane est passée. Cent mètres plus loin ils font demi-tour. La promenade continue en sens inverse. Arrivés à la hauteur de la vieille cabane, c’est comme si une force surnaturelle les attirait vers cet abri délabré. Ils s’enlacent. La main de monsieur Ferdinand n’a pas le temps de remonter de la taille vers la poitrine qu’une bouche chaude et avide prend possession de la sienne. Un baiser fougueux s’ensuit, laissant monsieur Ferdinand pantelant.
    
    Il n’a pas eu le temps de tâter le sein de Mademoiselle Thérèse.
    
    Le déjeuner est, bien entendu, très convivial. Madame Hortense et madame Germaine font assaut de bons mots. Les jeunes gens sont à l’aise. De temps à autre le pied mutin de Thérèse cherche le mollet de Ferdinand. L’entrée, le plat et le dessert passent. Ces dames sont maintenant impatientes de rejoindre leurs amies pour leur traditionnelle partie de piquet dominical.
    
    Mademoiselle Thérèse est aussi très impatiente.
    
    Monsieur Ferdinand ne ...