Fernande
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
médical,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Auteur: Xuodid, Source: Revebebe
... guide vers son bas-ventre. Elle ne se fait pas prier. C’est très beau une femme qui se caresse, alanguie, frissonnante, offerte aux caresses qu’on lui assène tel un coup de vent ondulant les épis d’un champ de blé mûr qui se couchent et se redressent frémissant dans l’air chaud d’une fin juin.
Je ne me néglige pas non plus, mais doucement, car cela fait bien deux heures que je suis turgescent et même si l’on prétend que ce sont les meilleurs qui partent les premiers, je ne voudrais pas gaspiller trop tôt et je suis à fleur de peau tant ce que je vois est beau. Non, Mr Darwin, autant, je vous suis pour tout le reste, autant là, seule une intervention divine peut créer autant de beauté mêlée de désir et de plaisir. Cela ne peut être l’évolution d’un simple acte de reproduction. Ce ne peut être une simple femelle, mais une amante qui, ouvrant grand les yeux, me dit :
— Viens !
Nous sommes désormais suffisamment intimes pour nous tutoyer et je me présente aux portes, non pas du paradis où nous sommes déjà, mais aux portes du Graal. Avec une ferme lenteur, sans effort tant c’est mouillé de cyprine, je m’enfonce en elle. Extase de sa douce chaleur vaginale. Je vais au fond, poussant encore même si je ne peux aller plus loin, je la cloue au matelas. Les mains calées à ses seins, je ressors et reviens. Accélérant à peine le mouvement à chaque pénétration.
Elle reprend ses caresses clitoridienne, gémissante de débordements sensuels, elle finit après de précieuses minutes ...
... par m’encourager à sonner la charge vers les sommets du plaisir. Elle part en extase, n’a plus la force de rien, abandonnée à jouir, yeux fermés, corps se détendant, à peine ondulant, tout en susurrant des onomatopées. Je crains de m’être bloqué d’avoir trop retenu, mais la vision de tant de volupté en jouissance dans l’écrin de douceur du cardigan angora me déclenche sans tarder une première salve annonçant la rafale à venir qui me fait m’écrouler sur sa poitrine, tête dans son cou dans les soubresauts de mon éjaculation. Je me retiens dans mon plaisir, je ne veux pas tout dilapider sans en garder pour recommencer si elle le désire.
Après un moment sans bouger, je bascule sur le côté afin de ne pas l’incommoder de mon poids sans pour cela me dégager. J’embrasse ses lèvres tout en bougeant mon bassin, le sexe cède un peu sinon à l’amour, au moins à la gratitude réciproque. Ne pas s’endormir malgré l’heure tardive. Cela ne sera pas difficile dans ses bras, d’autant que je ne débande pas.
Elle pivote et se dégage. Passe son majeur sur mon prépuce encore baigné de nos substances mêlées et de son doigt portant nos saveurs, me parcours les lèvres avant de le porter à sa bouche pour le sucer en me disant :
— Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Dis-moi !
— Mon plaisir est de t’en donner. Guide-moi vers lui.
Alors elle se lève se place à l’envers sur moi et choisit de s’empaler ainsi en me tournant le dos, mais face au miroir où elle peut se voir. Pleine vision pour moi sur ...