Pour le plaisir des yeux...
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
fffh,
extracon,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Auteur: Boubill, Source: Revebebe
... sans se cacher le moins du monde. Je me retins pour ne pas courir, ma respiration se fit plus saccadée et, à ma grande honte, je sentais mon ventre se liquéfier et mon intimité s’humidifier sous l’effet de l’excitation. Pour la seconde fois j’arrivai auprès du fil à linge, pris la serviette de Géraldine et celle de Sophie par la même occasion, pour m’éviter un troisième voyage, puis je pris le chemin du retour. Un nouveau coup d’œil en biais m’apprit que notre voisin ne perdait pas une miette du spectacle, un sourire amusé sur les lèvres.
« Ce n’est pas grave, c’est un monsieur déjà âgé qui profite un peu, pas de quoi fouetter un chat » .
J’essayais de me réconforter tout en reconnaissant qu’il m’étais agréable de me promener presque nue devant un homme d’âge mûr certes mais ayant encore infiniment de classe et de séduction.
De retour à la maison, je jetai sur les genoux de mes amies leurs serviettes respectives et je m’affalai pour la seconde fois dans mon fauteuil d’osier.
— C’est très gentil d’avoir penser à me ramener ma serviette, me remercia Sophie, dommage que, par la même occasion, tu ne m’ais pas ramené ma culotte qui séchait également.
— Ce n’est pas grave, dit Géraldine en me posant affectueusement sa main sur le bras, Clémentine est tellement habituée à la situation, à présent, qu’un troisième et dernier voyage ne lui fait sûrement pas peur.
Je les jaugeai un instant du regard puis décidai qu’en effet, autant mener l’expérience jusqu’à son ...
... terme. Je me levai et commençai à me mettre en route lorsque Sophie m’interpella doucement :
— Tu n’oublies pas quelque chose ?
— Quoi ?
— À chaque voyage, tu as ôté un vêtement, il faut continuer.
— Ce n’est pas possible, je n’ai que ma culotte à présent, je ne peux pas y aller toute nue.
— Et pourquoi pas ?
L’injonction, dite sur un ton un peu sec, me prit au dépourvu et c’est presque comme un automate que je fis glisser ma culotte le long de mes jambes puis la déposai sur le fauteuil. Je me remis en route pour mon dernier aller-retour, le ventre un peu noué par le spectacle indécent offert au voisin. Un autre coup d’œil en biais m’informa qu’il n’était plus accoudé au muret de séparation. C’est presque avec volupté que je me dirigeais vers le fond du jardin. Une petite brise me fit frissonner, toute ma peau se couvrit de chair de poule.
Arrivée près du fil et ayant décroché la culotte de la miss Sophie j’eus soudain envie de satisfaire une envie pressante.
« Après tout » me dis-je.
Je m’accroupis, écartai les cuisses, ouvris un peu mon sexe avec mes mains et me laissai aller. Un jet doré s’échappa de mon sexe dans une jolie arabesque, inondant l’herbe située entre mes jambes. Les yeux fermés, accroupie, les fesses bien en arrière, je profitais à fond du moment, poussant de petits gémissements tandis que les derniers jets de mon pipi rebondissaient sur le sol.
Lorsque je rouvris les yeux, un froid glacial s’empara de moi. Non seulement notre voisin était ...