1. Pour le plaisir des yeux...


    Datte: 22/10/2018, Catégories: fffh, extracon, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Auteur: Boubill, Source: Revebebe

    ... revenu à son poste d’observation mais il était muni de jumelles, il m’observait sans se cacher. J’imaginais bien le spectacle que je devais lui donner, une belle femme de trente ans, cuisses et sexe ouverts en train de faire pipi. Je me relevai d’un bond et filai en courant vers la maison.
    
    — Mademoiselle, s’il vous plaît.
    
    Je l’entendis m’appeler mais ne m’arrêtai pas, consciente du ridicule de ma situation, courant nue dans ce jardin, les seins ballottant au gré de la course. Je grimpai les marches de la maison quatre à quatre, ressentant physiquement la brûlure de son regard sur mes fesses et m’écroulai en larmes auprès de mes amies.
    
    — Ce n’est pas grave, me consola Amélie me prenant dans ses bras.
    
    Tandis que je me calmais, le téléphone sonna. Géraldine prit la communication puis mettant sa main sur l’écouteur :
    
    — C’est notre voisin, il te trouve très belle.
    
    Je devins écarlate.
    
    — Il demande si tu pourrais venir le retrouver quelques minutes pour t’admirer de plus près.
    
    Effarée, j’entendis Géraldine lui répondre :
    
    — Elle est d’accord, à condition, bien sûr, de vous conduire en gentleman.
    
    Après qu’elle eut raccroché, je m’insurgeai :
    
    — Il n’en est pas question, allez-y vous, si ça vous chante de vous faire reluquer par ce lubrique !
    — Allons, joue le jeu jusqu’au bout, nous sommes présentes, que veux-tu qu’il arrive ?
    
    Vaincue, décidée à boire le calice jusqu’à la lie, je ressortis et me dirigeai vers monsieur X, rouge de honte. Puis je me ...
    ... dis : « Après tout, il me trouve belle, il veut me mater, autant qu’il en ait pour son argent » .
    
    Je bombais la poitrine, marchais les jambes légèrement écartées pour mettre en valeur ma vulve et sa protection soyeuse et m’arrêtais devant lui.
    
    — Vous êtes très belle.
    
    Et, se saisissant de ma main droite, il y déposa un baise main.
    
    — Pouvez-vous vous tourner un peu afin que j’admire votre cul magnifique.
    
    Fouettée par le langage crû, je fis demi-tour, lui laissant admirer ma chute de reins. Dans cette situation, je voyais mes trois amies, qui s’étaient également munies de jumelles, observer la scène avec excitation. Sa main se posa sur mon épaule droite me faisant tressaillir :
    
    — Faites-moi face, s’il vous plaît.
    
    Puis, une fois que je fus tournée :
    
    — Puis-je ?
    
    La gorge sèche je sentis ses deux mains glisser vers mon buste. J’émis un coassement qu’il prit pour un encouragement car je sentis ses mains fermes et douces partant de mes épaules, empaumer mes seins et les caresser jusqu’aux mamelons. Je crus que j’allais avoir un étourdissement tellement sa caresse me fit de l’effet. J’adore qu’on me caresse la poitrine mais Marc ne s’y attarde jamais.
    
    Ses doigts faisaient rouler mes mamelons à présent, les tordant d’une manière délicieuse.
    
    — Vous êtes faites pour le plaisir, dit-il.
    
    Puis il se mit à tordre mon mamelon droit jusqu’à la douleur, me faisant monter les larmes aux yeux, mais s’arrêtant à la limite du supportable. Ma chatte était trempée à ...
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