1. Pour le plaisir des yeux...


    Datte: 22/10/2018, Catégories: fffh, extracon, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Auteur: Boubill, Source: Revebebe

    ... dégrafai mon soutien-gorge, libérant mes deux seins ronds et fermes, dont les tétons avaient durci sous l’effet du trouble qui m’avait envahie. Je descendis les quelques marches menant au jardin pour y chercher la serviette demandée.
    
    — Tu y vas en marchant normalement et doucement, dit Amélie, il s’agit de profiter, et toi et nous, à plein de cette expérience !
    
    La chaleur du soleil de fin d’après-midi me chauffait les épaules, le cou, les seins, tandis que je me mettais en route vers le fond du jardin. Le bruit de sécateur venant de chez notre voisin s’était arrêté et j’imaginais sans peine qu’il me regardait, ayant de toute évidence une vue parfaite sur ma silhouette car j’étais en terrain dégagé. Je me sentis rougir jusqu’au oreilles et une légère suée perla sur ma peau. Je m’obligeais à marcher normalement pour respecter le deal passé avec mes amies et j’atteignis enfin le fil à linge et l’ombre protectrice des arbres l’entourant, avec soulagement. Mais il restait le retour. Prenant mon courage à deux mains, je fis demi-tour pour revenir à la maison. Mes seins ballottaient doucement, au rythme de ma marche, provoquant des élancements très agréables dans tout mon corps.
    
    « Tu es complètement idiote » me dis-je en moi-même, toutes ces histoires pour une petite promenade de rien du tout les seins à l’air. »
    
    J’arrivai enfin auprès de mes amies et donnai à Amélie sa serviette. Je m’affalai dans mon fauteuil d’osier en poussant un soupir de soulagement.
    
    — Mission ...
    ... réussie, dis-je en esquissant un semblant de salut militaire.
    — Oh, j’ai totalement oublié de te demander de prendre également ma serviette, dit Géraldine, vas-y, s’il te plaît.
    
    J’hésitai à l’envoyer promener, puis décidai de jouer le jeu jusqu’au bout et me levai.
    
    — Pour cette fois-ci, continua Géraldine, ôte ton short, s’il te plaît.
    
    Je la regardai, suffoquée.
    
    — Mais je suis en culotte sous ce short, répondis-je.
    — Et alors, bas de maillot ou culotte, quelle différence ?
    — Il y en a une grande, m’insurgeai-je, ma culotte est assez transparente.
    
    Mes trois amies éclatèrent de rire.
    
    — La sacrée coquine que voilà, s’esclaffa Sophie, Marc doit rudement s’amuser avec toi.
    
    Vexée comme un pou par leurs moqueries et par l’allusion à mon fiancé, je dégrafai mon short et le fis tomber à mes pieds. Amélie siffla doucement :
    
    — Tu es très jolie, dit-elle, le regard un peu troublé.
    
    Plusieurs fois déjà, je m’étais demandé si elle ne ressentait pas une certaine attirance pour les autres femmes et, à priori, mes soupçons se confirmaient. À la vérité, ma culotte, lingerie de prix, mettait en valeur l’arrondi de mes fesses que j’ai très cambrées et fermes, ainsi que ma toison pubienne, qui est bouclée, très brune et fournie, ressortait très bien sous le fin tissu translucide.
    
    Je redescendis les marches une seconde fois, regardant en biais pour savoir ce que faisait notre voisin. Nullement gêné il s’était accoudé à un petit muret commun et me dévorait des yeux ...
«1234...»