1. Des bites pour la grosse cochonne... que j'ai épousée (1)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... apparurent derrière nous.
    
    — Allons, les garçons approchez-vous. C’est la récréation... écartez-vous bien que tout le monde en profite !
    
    Ils se mirent spontanément en arc de cercle. On était un peu serré. Ceux qui étaient nus s’étaient caché le sexe des deux mains.
    
    Je me plaçai derrière ma femme et j’ouvris l’impair d’un coup sec.
    
    — Allez-y messieurs, elle est à vous. Baisez-la comme vous voulez !
    
    Mais personne n’osa s’approcher. Cependant, sous les slips, les quéquettes se tendaient.
    
    — Elle est à vous les gars ! C’est open bar ! Allez-y. Baisez-la par tous les trous ! Elle attend que ça !
    
    Et je la poussais dans les bars des deux gars qui se trouvaient le plus près d’elle.
    
    Alors, tout en me regardant incrédules, ils osèrent mettre leurs mains... puis les doigts... Je vis une main sombre caresser la touffe, écarter les lèvres, frotter le clitoris. Ma femme gémit...
    
    Les autres hommes achevèrent alors de se dévêtir.
    
    Plus hardi, l’ukrainien commença à palucher ma femme, qui se laissait faire, alors que tous les autres essayaient de palper ce qu’ils pouvaient.
    
    Damien, queue dressée également, était resté en retrait près de moi.
    
    — Pourquoi tu fais ça ?
    
    Je lui racontai.
    
    — Ils vont te la massacrer !
    
    — Pourquoi "Ils". Tu veux juste te toucher en regardant ?
    
    — Non... non... si tu permets... j’aime les gros seins et les gros culs...
    
    — Je ne permets pas... j’exige...
    
    — Putain... et dire que j’ai pas de capotes !
    
    — Ben, a priori ...
    ... vous n’en avez pas besoin. Tu m’as dit que personne n’avait tiré son coup depuis longtemps... et tu n’as emmené personne chez le toubib récemment...
    
    — Non, c’est vrai. Ils sont pétants de santé... Ils font des heures sup même avec la chaleur...
    
    — Alors je crois qu’on peut y aller ! D’ailleurs rate pas ton tour. Ça a l’air de s’accélérer.
    
    De fait, les mecs les plus robustes avaient soulevé ma femme qu’ils tenaient parallèlement au sol ; les roplopos attirés par la force gravitationnelle pendaient lourdement vers le bas en se balançant au gré des coups de bites pour autant que les mains qui essayaient de les agripper le leur permissent.
    
    Deux gars tenaient les jambes comme pour un écartèlement tandis qu’un mec debout se cramponnait aux hanches pour se propulser et bien enfoncer son marteau-pilon tout au fond du vagin. Un black à la bite démesurée se faisait sucer.
    
    On organisa ainsi une tournante pendant laquelle chacun put venir la tirer de la sorte. Puis, deux colosses la prirent en sandwich. Accrochée au cou du plus petit qui la soutenait de ses bras monstrueux, elle offrit sa croupe au Kosovar qui avait des velléités de sodomie. Las ! Sans lubrifiant, le pénis, de proportion pourtant modeste, ne rentrait pas.
    
    On mit donc ma femme à genoux sur le sol. Elle se plaignit de la rugosité et l’un des Africains lui offrit immédiatement un coussin qu’il alla chercher sur un fauteuil. Il revint triomphalement avec ce douillet accessoire d’une main et, de l’autre, une ...
«1...3456»