1. Des bites pour la grosse cochonne... que j'ai épousée (1)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... fois. Je le ferai plus.
    
    — La première fois ? Tu crois que je vais gober ça. Je t’ai vu danser comme une chienne sous ses coups de bite, tortiller du cul, gueuler comme une truie... T’es clairement pas à ton coup d’essai et c’est pas moi hélas qui t’ai appris à te conduire comme une catin... T’es une salope... j’vois que t’as le sexe avec les autres dans le sang... ça te fait jouir de me faire cocu... Barre-toi.
    
    — Je t’en supplie ! Je vais tout te raconter... Je ferai tout ce que tu voudras !
    
    Enfin ! Nous y étions. Elle avait mis le temps.
    
    — Tout ?
    
    — Oh oui, tout.
    
    — On va voir. Tu n’auras droit à aucun faux pas. Dès que tu refuses, tu prends la porte.
    
    Et je la pris par la main et sortis de la maison. Fantasme numéro 2 : Voir une femme montée par un animal.
    
    — Tu m’emmènes où ?
    
    — Un test, voir si tu vas vraiment tout faire.
    
    — C’est quoi ?
    
    — Tu vas sucer la bite de l’âne du voisin.
    
    — Tu n’es pas sérieux ?
    
    — Ou tu suces cet âne ou tu dégages. J’en ai marre de me taper du porno sur écran de ta faute... Tu m’as habitué à du hard mais du hard virtuel, alors maintenant c’est du vrai. Je vais continuer à me taper des queues mais en te regardant. Tu es ma nouvelle star du X. TU vas être l’objet de tous mes fantasmes... Tous...
    
    Elle suivit sans rien dire, assez docilement d’ailleurs, plus que je ne m’y serais attendu... Malheureusement le champ était désert. Où ce con de voisin avait-il pu mettre son baudet aujourd’hui ? J’hésitais. ...
    ... Descendre sur la route en cul-de-sac, atteindre la maisonnette du voisin, lui demander son âne... Et pourquoi pas le voisin lui-même ? Depuis un mois et demi que nous étions là, je commençai à avoir des doutes sur la moralité du bonhomme, d’autant que les langues du pays y allaient bon train... oui, le voisin accepterait sûrement de se livrer à mon petit jeu. Mais si on y allait, sans être sûrs de sa présence, le temps qu’on le trouve, qu’on joue avec l’âne, s’il était décidé... je serais en retard pour mon rendez-vous avec Damien.
    
    — Qu’est-ce qu’on fait ? A l’intonation de sa voix, j’avais presque l’impression qu’elle était déçue.
    
    — Tu perds rien pour attendre. Il est pas là mais dès qu’il ramène son bestiau, je veux te voir à quatre pattes dessous. Et le voir te gicler sur ta petite tronche de pute.
    
    Je filai dans la chambre, prit un vieil impair, une paire de tennis et dis à ma femme de les passer.
    
    — Suis-moi. En attendant, tu vas quand même morfler. Tu veux de la bite, je vais t’en donner !
    
    — Toute nue sous l’impair ?
    
    — Ta gueule.
    
    Il ne fallait que quelques minutes pour rejoindre Damien et son équipe. Dans la voiture, je lui dis :
    
    — Ouvre ton impair !
    
    — Pourquoi ?
    
    — Montre ta chatte.
    
    Elle obéit. Je regardai à la dérobée la toison noire assez fournie et, dès que la conduite me le permit, j’y fourrai un doigt.
    
    — Salope ! T’as bien mouillé. Il t’a fait jouir le petit puceau. Elle était bonne sa queue ?
    
    -.......
    
    — T’es sourde ? Je te parle ...
«1234...»