1. Des bites pour la grosse cochonne... que j'ai épousée (1)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... cœur. A sa chevelure rousse et sa peau tachée, je n’eus pas de peine à reconnaître le fils des proprios de la supérette du patelin le plus proche.
    
    Habitué à mater du X, je me rendis compte que la scène assouvissait un fantasme. Fantasme numéro 1 : Voir ma femme se faire baiser m’excitait. J’en avais tellement vu sur des films de cul de ces gaillards bien montés (c’est quand même plutôt mon cas) qui offrent leur femme au premier venu ou à leur meilleur pote que c’était sans doute ma première pulsion. J’avais une furieuse envie de les rejoindre, d’ouvrir mon froc et de libérer mon épaisse quéquette mais j’étais aussi blessé dans mon amour-propre, parce qu’elle préférait ce blanc-bec et qu’il la fasse jouir. Je me mis à bander... non je n’allais pas leur laisser la satisfaction de s’éclater sans moi ou, du moins, sans mon consentement... et puis je réfléchis... des fantasmes, voire des frustrations, j’en avais accumulé plein d’autres... et si j’en profitais ? Pourquoi en satisfaire un au risque de ne plus pouvoir me permettre les autres... je pris mon parti, je ne perdais rien à essayer. Et puis cela me donnerait peut-être l’explication que j’attendais. Pourquoi moi qui suis endurant et viril, je n’arrive plus à me faire désirer d’elle ?
    
    — Putain qu’est-ce qui se passe ici !
    
    Cette apostrophe brisa aussitôt le charme. Le petit con se retira et mit la main sur son sexe. Ma femme, paniquée, me dit :
    
    — T’énerve pas Christian, je vais t’expliquer !
    
    — Y a rien à ...
    ... expliquer. Tu me fais cocu avec le premier godelureau boutonneux venu ! J’ai pas besoin dessin.
    
    J’envoyais deux grandes mandales dans la gueule du type qui roula par terre, je pris ses vêtements et les jetai par la fenêtre côté route : "Barre-toi connard. Si je te recroise, je te massacre".
    
    Il partit sans demander son reste et se démerda pour se rhabiller vite fait au bord de la route qui n’est guère passante.
    
    Je m’approchai de ma femme terrorisée dans le canapé. Je lui envoyai un mollard dans la gueule :
    
    — T’es qu’une sale grosse pute, je veux plus te voir !
    
    — S’il te plaît... pigna-t-elle, je peux tout t’expliquer.
    
    — Tu prends tes affaires, tu fous le camp.
    
    — Mais...
    
    — Maintenant !
    
    Je montai chercher une valise et la lui jetai.
    
    Son travail paie bien mais il est aléatoire. Elle est rémunérée à l’œuvre. Pas de traduction, pas d’argent... et avec pour seule famille sa vieille mère qu’elle assiste financièrement, à 600 kilomètres, elle était piégée. Je le savais. Elle était dépendante de mon fric au moins pour un moment. Se débrouiller seule, elle le pourrait même s’il lui avait fallu plusieurs semaines pour se retourner, mais pouvait-elle faire cette analyse à ce moment précis ? Je ne crois pas. J’abusai de la situation.
    
    Je me fis violent, la pris par le bras avec force :
    
    — Tes fringues là-dedans, tu dégages immonde truie !
    
    — Je t’en prie.
    
    — Quoi ? Tu te refuses à moi et tu te donnes au premier minable qui passe ?
    
    — C’était la première ...
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