1. Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (5)


    Datte: 21/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... la voix, en cherchant l’approbation de son maître...
    
    — Tu m’as humilié et traité comme un moins que rien pendant 30 ans ! Aujourd’hui, c’est à moi d’avoir ma revanche ! Et tu vas en chier, salope ! dit-il en la giflant.
    
    — Bon, les tourtereaux, on se calme. Très bonne idée Raphaël, mais tu vas mettre de l’eau glacée et un glaçon dans la flûte. La pression interne évitera en théorie l’éclatement de la coupe. Tu vois ma petite Sylvie, le sadisme c’est aussi de la physique ! En plus, tu auras des sensations délicieuses ! Mais tu peux toujours arrêter le jeu, si tu le désires... mais tu connais la sanction !
    
    Sylvie réfléchit peu de temps : dire non et elle redevenait une femme normale, qui ne pourrait plus expérimenter l’ensemble des fantasmes trash qu’elle avait en tête, depuis si longtemps, et dont elle n’avait jamais osé parlé à personne... surtout pas à son petit mari. Petit mari dont elle s’apercevait un peu tard, après 30 ans de mariage, qu’il aurait été plutôt doué pour les mettre en action !
    
    Fantasmes dont elle n’avait même pas eu le courage de les admettre, de les regarder en face, de s’interroger quant à leur faisabilité, tant elle restait cloîtrée dans son éducation “petit bourgeois” catho ! Continuer pour goûter à tous ces jeux pervers... et puis la satisfaction de raconter à sa sœur un truc incroyable qu’elle n’avait sans doute jamais fait elle-même !
    
    En définitive, même si elle crevait de trouille de se déchirer l’anus, elle assumait... ce que lui ...
    ... faisaient subir les deux hommes était trop bon, jamais elle n’avait joui comme cela ! Elle ne croyait d’ailleurs pas auparavant qu’une femme puisse connaître telle sublimation sexuelle ! Et encore ce n’était que le début !
    
    — Alors Sylvie, tu acceptes le risque de te faire déchirer le cul au sens propre du terme ? De sentir les éclats de verre s’enfoncer dans tes chairs meurtries, voir ton sang s’écouler entre tes cuisses, hurler de douleur ?
    
    — Oui Maître “, dit Sylvie, vaincue, en baissant la tête.
    
    En son for intérieur, elle sentait que son nouveau maître exagérait et dramatisait beaucoup la situation ! En un sens, il aurait été stupide pour lui de se priver de la douceur de son sexe et de son trou du cul, maintenant qu’elle était devenue sa chose sexuelle... il aurait vraiment fallu être stupide, or elle savait que Paul était très loin d’être bête !
    
    Alors le cul toujours en l’air, l’œillet rougi ouvert sur le reste du monde, Sylvie accepta que son mari verse dans son entrée dilatée l’équivalent de 30 centilitres d’eau glacée, puis y enfonce la flûte qui contenait un glaçon. Celui-ci vint toucher les muqueuses et lui procura une délicieuse sensation de froid, après tout ce qu’elle avait subi de la part des deux hommes !
    
    Doucement, elle se releva, aidée par Paul, et serrant les cuisses, juste ce qu’il fallait, elle fit le tour du salon à petits pas prudents, nue, sous le regard moqueur de son mari. Elle n’en menait pas large, mais goûtait le sel de sa déchéance. Le ...