Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (5) - Histoires de Sexe

Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (5)

Sylvie marchait dans une grande avenue du XV° arrondissement à la recherche du sex-shop, dont son nouveau maître, Paul, lui avait parlé. Elle repensait aux événements de la nuit, et des deux jours qui avaient, comme produit, une fissure spatio-temporelle dans sa vie de petite bourgeoise coincée !

Sa démarche était un peu lente et hésitante... tout d’abord, sous son imperméable beige, elle ne portait qu’un porte-jarretelles et des bas couleur chair, et sa toison qui avait été rasée par son mari, sous l’ordre du maître, venait par moments frotter contre le tissu assez rêche du pardessus, d’autant plus que son nouveau maître avait serré la ceinture au maximum, avec interdiction d’y toucher.

De ce fait, Sylvie faisait des petits pas, qui lui causaient une gêne, voire une légère douleur à l’endroit de son pubis. Mais le pire, c’était qu’elle avait été tellement baisée et enculée toute la nuit, par les deux hommes, que son sexe et ses muqueuses génitales et anales en étaient légèrement enflammés. Aussi, chaque petit pas lui causait une douleur de friction entre les cuisses, au niveau de son sexe. Et par pure perversion, Paul lui avait interdit de se soulager avec l’usage d’une pommade, genre Biafine.

Ainsi, la traversée de la longue avenue devenait un calvaire.

Mais Sylvie n’en avait cure, tant elle repensait aux multiples plaisirs qui lui avaient été offerts par les deux hommes.

Sylvie était extrêmement excitée... et un peu inquiète aussi.

Se balader dans Paris, ...

... nue sous son pardessus, dans la rue, avait quelque chose d’irréel. Elle, la bourgeoise, toujours sûre d’elle, dominant la situation en toute circonstance, était devenue le jouet sexuel d’un homme, son beau-frère Paul, et elle adorait sa nouvelle condition : pute, soumise, femme à disposition du désir des mâles... jamais elle n’aurait imaginé se complaire dans ce rôle.

Pourtant que de plaisir, elle prenait à obéir au moindre désir de son nouveau maître !

Dire que la nuit dernière, elle avait accepté de se faire enculer par son mari ! Selon les désirs de son maître, elle avait donné son pucelage anal à Raphaël. Chose qu’elle lui avait toujours refusée en temps normal !

Mais là, elle était sous l’emprise de Paul... et tout libre arbitre lui était dorénavant interdit ! Pourtant quelle jouissance !

Attachée, malmenée, quasi torturée, des pinces sur les seins, elle avait accepté que son mari la sodomise !

Et elle avait joui comme jamais auparavant avec lui ! Elle avait adoré sentir le gland écarter son anus, se positionner en elle... les muqueuses s’étaient progressivement adaptées à cette intrusion grossière de sa dernière intimité de femme. Ce cadeau qu’elle n’aurait jamais imaginé donner à quelque homme que ce fut, elle l’avait offert à celui qu’elle méprisait le plus.

Et il en avait tiré parti, le salop !

Alors, une fois sa verge bien fichée dans son rectum, il s’en était donné à cœur joie ! Il l’avait enculée avec délectation !

Et contre toute attente, ...