Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (5)
Datte: 21/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... elle avait adoré se faire enculer... elle s’était entendue dire des choses qu’elle n’aurait jamais imaginées, dans sa vie de bourgeoise bien rangée. Des trucs du style oui :" vas-y, je la sens ta queue dans mon cul de salope". Ou, "c’est trop bon de se faire enculer". "Vas-y plus profond."
Et elle s’était déchaînée avec force gémissements et ahanements ! Elle devait se l’admettre à elle-même, elle avait joui comme une salope en chaleur.
Et puis, après avoir été sodomisée par les deux hommes, son maître l’avait fait mettre à genoux, la tête contre le sol et le cul bien en l’air... et il avait pris son anus en photo, en très très gros plan ! Elle avait alors eu la surprise de voir son petit trou dilaté, ouvert sur le monde, les muqueuses malmenées et rougies ! Elle avait l’impression qu’on aurait pu y rentrer une aubergine sans difficulté... et puis la phrase de son maître la glaça :
— Alors Raphaël, quel beau trou de salope, n’est ce pas ? Que voudrais-tu y rentrer pour encore plus humilier ta putain de femme ?
— Je peux proposer n’importe quoi ? dit-il avec un sourire pervers.
Raphaël buvait du petit lait. Il avait enculé sa femme malgré son dégoût, il le savait bien. Avait joui en elle comme jamais... l’avait fait jouir comme une débauchée, chose qu’il n’aurait jamais cru pouvoir lui arriver ! Et puis il pouvait la dominer, lui imposer des choses, lui donner des ordres. Et le plus beau, c’est qu’elle ne pouvait se rebeller ! En un sens, il souhaitait qu’elle ...
... se rebellât... car alors il savait que le maître aurait un prétexte pour la corriger et la faire souffrir ! Et cela, il avait vraiment envie de le voir faire sur sa femme. D’abord, voir le maître la fouetter et puis lui ensuite... et il savait qu’il jouirait de lui faire mal... comme elle lui avait fait mal depuis toujours. Il savait que le maître avait des idées toutes plus vicieuses et tordues les unes que les autres ! Qu’allaient donc lui faire subir les deux hommes ? Il s’en régalait et en jouissait d’avance !
Il sortit dans le salon et en observant la pièce autour de lui, il eut une idée diabolique !
Il revint dans la chambre avec une flûte à champagne en cristal, l’une de celles qui provenaient du service offert par sa belle-mère, en cadeau de mariage. Un service de Baccara, que sa femme vénérait et exhibait devant leurs amis, pour montrer son bon goût de femme du monde ; l’humiliation n’en serait que plus délectable ! Il s’approcha de son épouse, toujours le cul en l’air, dans cette position infamante et lui souffla à l’oreille :
— Je vais te rentrer cette flûte en cristal dans le fion... et tu marcheras avec... que tu la fasses tomber et le maître te corrigera durement... que tu serres trop avec les muscles de ton anus et tu la briseras ! Alors les éclats de verre se ficheront dans tes muqueuses, et tu souffriras le martyre jusqu’aux urgences !
— Mon Dieu, tu ne peux pas m’imposer cela ! Tu es fou ! lui dit Sylvie, les larmes aux yeux et des sanglots dans ...