1. C'est au pied du mur qu'on voit le mieux... le mur


    Datte: 20/10/2018, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail dispute, Oral pénétratio, fsodo, vengeance, cocucont, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... ans et elle travaille avec lui chaque jour ou presque. Il la regardait à peine. Ou bien comme une mère. Depuis quelque temps, son regard n’est plus le même. Il la déshabille des yeux. Il est devenu prévenant. Il cherche son contact, physique. Il ne s’échappe plus entre midi et deux pour déjeuner seul. Il reste avec elle, même pour une barre de protéines. Elle sait bien qu’elle n’aurait qu’à claquer des doigts pour qu’il lui mange dans la main.
    
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    — Bonsoir, chéri ; tu as passé une bonne journée ?
    — Ouais. Et toi ?
    — Ça va, oui.
    — Tu es allée travailler habillée comme ça ?
    — Oui. Pourquoi ?
    — Pourquoi ? Ta jupe est transparente. On voit ton cul. Ton chemisier est transparent. On voit tes tétons. Tu vas bosser ou te faire sauter ?
    — Tu es grossier et méchant !
    — Pourquoi tu t’habilles comme ça, alors ?
    — Je suis juste sexy. Je m’habille comme ça pour te plaire.
    — Mon cul ! Tu as un amant.
    — Non.
    — Menteuse !
    — Si tu veux. Mais continue comme ça et ça finira bien par arriver.
    — Ah, j’en étais sûr ! Si tu n’as pas déjà un amant, tu cherches.
    — Que tu es lourd, mon pauvre Alain… Si je voulais me faire sauter, ce serait déjà fait. Tu as déjà vu un homme refuser ? Vous êtes tous les mêmes. On est toutes des putes.
    — Dis-moi qui c’est.
    — Personne.
    — Menteuse. Je veux savoir !
    
    Aline est en colère. Sidérée par l’absence, la brutalité des mots de son mari, et plus encore par son absence de confiance.
    
    — Toi.
    — Quoi, moi ?
    — Mon seul ...
    ... amant, c’est toi.
    
    Elle déboutonne son chemisier et le jette à terre. Sa jupe suit. Elle est en string, juchée sur ses talons. Elle le regarde dans les yeux. Il la fixe lui aussi, interdit. Elle s’allonge sur le dos, replie les jambes, écarte sa culotte, et sans quitter ses yeux lui assène :
    
    — Baise-moi !
    
    Pour toute réponse, Alain attrape son paquet de cigarettes et sort de la pièce en claquant la porte. Aline se retrouve comme une conne, le cul par terre, humiliée. Non seulement elle ne l’excite pas, mais en plus il la traite comme une catin.
    
    Le soir, hôtel du cul tourné et gueule de travers. Quelle vie !
    
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    — Salut Alain. Ça n’a pas l’air d’aller beaucoup mieux…
    — Pire, tu veux dire.
    — Ah ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
    — C’est plus des doutes. Hier, elle était habillée toute transparente et on voyait ses cuisses. J’imagine qu’au boulot elle doit rendre les mecs dingues. Y’en a bien un qui se la tape.
    — Alain, elle est juste coquette. Merde, arrête !
    — En plus, elle dit que c’est pour me plaire ; elle manque pas d’air !
    — Bah, c’est peut-être vrai. Elle ne te plaît pas ?
    — Non. On dirait une pute
    — T’es dur, mon pote. Quand tu vois une belle fille dans la rue, tu te retournes et tu ne la traites pas de pute.
    — Ouais, mais là, c’est ma femme.
    — Ah, t’es comme ça, toi ? Une fille sexy dans la rue, ça te plaît, c’est normal. Mais si c’est ta femme qui est sexy, ça va pas. T’es vraiment con ! T’as la plus belle femme du monde et tu fais la ...
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