C'est au pied du mur qu'on voit le mieux... le mur - Histoires de Sexe

C'est au pied du mur qu'on voit le mieux... le mur

... qu’avec moi ; c’est toi qui le dis.
— C’est ce que tu voulais entendre.
— Oui. Mais c’est vrai ou faux ?
— C’est vrai.
— Dis-le alors !
— OK. Il a une grosse queue et me fait jouir plus fort que toi quand il me pénètre. Mais j’ai joui plus fort encore quand tu m’as léchée.
— Mais peut-être que quand il te léchera, lui, ce sera encore mieux.
— C’est pas possible. Là, tu m’as fait décoller comme jamais.
— Tu me flattes…
— Non. Je dis la vérité.
— Essaie quand même avec lui. OK ?
— Oui, j’essaierai. Mais dis-moi, c’est quoi ce truc dur qui pointe entre mes fesses ?
— Ma queue.
— Je sais bien, oui, mais tu bandes encore ?
— Ben oui ?
— Mais tu ne m’as jamais baisée deux fois le même jour.
— Y’a un début à tout.
— Ça t’excite à ce point que je t’aie trompé ?
— Bab, tu le sens bien, oui.
— Oh, que oui que je le sens bien. Elle est grosse aussi, la tienne. Mais tu n’essaierais pas de me sodomiser, là ?
— Non : je vais t’enculer.
— Sans demander l’autorisation ?
— Oui. Tu n’as qu’à imaginer que c’est l’autre qui t’encule.
— Je sais que c’est toi.
— Pense à lui.
— Si tu veux…
— Non, pas si je veux. Tu penses à lui, je le sais.
— Oui.
— Tu veux qu’il t’encule ?
— Oui, j’en ai envie.
— Tu la sens, sa queue qui rentre ?
— Oui, je la sens bien, vas-y…
— Non, ...

... c’est lui qui y va. C’est sa queue dans ton cul !
— Oh oui, elle est bonne…
— Appelle-le par son nom.
— Non !
— Dis-moi qui c’est.
— Non. Plus fort.
— Plus fort qui ?
— Plus fort.
— Dis son nom.
— Non… Oh oui, encore…
— Encore qui ?
— Tu fais chier !
— C’est pas le moment.
— Le moment de quoi ?
— De chier.
— Que t’es con… Vas-y !
— Vas-y qui ?
— Vas-y, Patrick. Encule-moi plus fort !
— Patrick, mon collègue ?
— Non, un autre.
— Menteuse !
— Non, c’est un autre.
— Tu voudrais qu’il t’encule, mon collègue ?
— Non.
— Menteuse…
— Tu fais chier !
— Tu voudrais qu’il t’encule, Patrick ?
— Oui… Plus fort, je vais jouir.
— Plus fort qui ?
— Plus fort, Patrick, je vais jouir !

Elle n’ose plus bouger tellement elle est honteuse. Il lui fait faire et dire n’importe quoi. Mais quel pied elle a pris ! Elle a joui avec deux hommes dans la même nuit, et s’il s’en présentait un troisième là tout de suite, pas sûr que la fatigue la dissuade d’écarter les cuisses à nouveau.

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— Salut, Alain ; ça boume ?
— Ça va, ça va. Et toi ?
— Moi aussi, merci. Tu as meilleure mine. Vous vous êtes expliqués avec Aline ?
— Oui. On en avait vraiment besoin.
— Je suis content pour toi.
— Tu fais quoi ce soir ?
— Pourquoi ?
— Tu veux dîner avec nous ?