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Rêvait-elle encore ?
Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, train, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation portrait, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe
... souhaitai rompre ce silence par ses cris et ses gémissements de plaisir. Mais alors que ma queue profitait de la saveur de son cul, j’eus la sensation que la jeune fille m’accompagnait en bougeant subtilement des hanches. Je crus en effet remarquer ses reins se cambrer vers l’arrière tandis que sa main affichait une certaine crispation, en appui sur le simili-cuir de la banquette. Rêvait-elle encore ? Je n’eus pas le temps de trouver une réponse. C’est à cet instant que je déchargeai. Trois jets puissants qui inondèrent son cul d’un liquide d’un blanc compact et visqueux. Je sentis la nymphe frémir sous moi. Le premier fut si subit et important qu’il s’étala sur sa colonne vertébrale, éclaboussant au passage son tee-shirt et les mèches de ses cheveux égarées dans son dos. Le deuxième atterrit sur sa fesse droite pour baver le long de sa cuisse sur la banquette. Le dernier enfin percuta son coccyx pour se jeter dans sa raie comme une folle mer d’écume. Une main en appui sur le dossier du siège, je contemplai ce cul constellé de foutre, mon foutre. Des étoiles sur cette voie lactée de miel. J’avais mal à la tête, mes tympans étaient sur le point d’exploser et le vertige me gagnait. Le train usa tout à coup de sa sirène pour annoncer l’arrivée en gare de Dijon. Je m’extirpai alors maladroitement de la banquette et rajustai le string et le ...
... pantalon corsaire en hâte, m’apercevant quelques secondes trop tard que je n’avais pas pris le temps d’essuyer ma semence qui devait maintenant imbiber la dentelle. Je me reboutonnai et repris ensuite la place que je n’aurais jamais dû quitter. J’aurais certes pu m’enfuir comme un mauvais garçon qui vient de tirer son coup, mais j’étais déterminé à assumer. J’avais une trouille du tonnerre, toutefois ma volonté devait être ici la plus forte. Mon attente fut de courte durée. Cinq minutes plus tard, nous étions en gare. La jeune étudiante s’éveilla, exhibant une paire d’émeraudes à la fois claire et pénétrante. Elle bâilla. S’étira. Me salua derrière mon polar. Agrafa les boutons de son pantalon en témoignant une légère surprise, son regard soupçonneux sur moi. Glissa ses pieds dans ses tennis. Se leva en dépliant ses jambes interminables. Porta son sac à dos sur l’épaule. S’approcha de la porte vitrée. Tira le rideau. Actionna l’ouverture. Et c’est là. Cette lueur dans le regard. Cette œillade qu’elle me lança par-dessus son épaule avant de se retourner. Tandis que le montant coulissait pour donner sur le couloir déjà envahi par les passagers, elle glissa sa main gauche dans son pantalon au niveau du postérieur avant de porter ses doigts couverts de foutre à sa bouche. Sa langue goûta au précieux nectar, un sourire complice au bord des lèvres…