Fin de week end torride chez les cousins
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
ff,
Auteur: Love doctor, Source: Revebebe
... affolante. Elle menait le bal, me laissant gémissante entre ses bras. Les mains appuyées sur la paroi, je me laissais caresser comme une femelle attendant d’être saillie par son mâle conquérant. Mais point de mâle ici ! Seule une jouvencelle déjà érudite en caresses lesbiennes, et qui libéra un de mes seins réactifs pour caresser mon ventre un peu relâché de femme mature et se diriger vers mon sexe palpitant. Mes gémissements étaient sonores mais masqués par le bruit des jets. Aucune parole n’avait été échangée, et comme une évidence, Charlotte assouvissait son envie née du spectacle que nous lui avions offert Lucie et moi.
Cuisses écartées, j’attendais d’être prise en main, et rapidement ses doigts caressèrent mon sexe lisse. Par ses mouvements circulaires et décidés, elle écrasa mes chairs gonflées, faisaient ressortir mon clitoris qu’elle agaçait de la pointe de l’ongle, me faisant frémir et gémir sans retenue, profitant de l’intimité de la cabine. Bouche ouverte, seins malaxés et sexe caressé, j’étais à elle et j’adorais cela. Charlotte frottait son corps contre le mien, et de ses doigts experts pinçait de concert mes pointes de seins et mon clitoris, déclenchant des ondes de plaisir qui irradiaient dans tout mon corps. Ses mouvements simultanés me rendaient folle et je sentais le plaisir croître dans mon corps. Elle posa sa bouche dans mon cou et en mordilla la peau. Je me sentais telle une lionne montée par son maître. Seins tendus, ventre palpitant, je ne pus ...
... retenir plus longtemps mon orgasme qui me tétanisa debout, appuyée contre la cabine. Je faillis choir et me rattrapai comme je pus, reprenant mes esprits la bouche emplie par l’eau qui frappait mon visage.
Charlotte m’embrassait maintenant tendrement le cou, son corps ferme toujours collé au mien. Doucement, je me retournai et découvris ses yeux bleus brillant sous l’eau comme deux saphirs. Sans un mot, nos bouches se trouvèrent immédiatement pour notre premier baiser. Ses lèvres étaient fraîches et jouaient avec les miennes comme un oisillon attendant la becquée de sa mère.« Mon Dieu, elle pourrait être ma fille ! » pensai-je un instant. Mais je n’eus pas le temps de cogiter, sa langue se faufilant pour s’enrouler autour de la mienne pour une danse sensuelle.
Ses seins lourds se plaquèrent contre les miens et je pus enfin les caresser, sensation exquise de prendre en main une poitrine jeune et réactive à mes attentions. À mon tour, je partis à la découverte de son corps. Elle était légèrement plus petite que moi mais diablement plus belle : son corps était parfait ; je l’aurais bien imaginée dans un magazine pour hommes. Je me devais de profiter de chaque instant, prenant conscience que ce moment était rare. Sans interrompre notre baiser, je repoussai doucement Charlotte vers la paroi de la cabine, mes mains caressant ses seins avec douceur. Du pouce, je frôlais ses longues pointes dont la sensibilité rendait la jolie blonde soumise à mes envies sensuelles.
Elle gémissait ...