Fin de week end torride chez les cousins - Histoires de Sexe

Fin de week end torride chez les cousins

... sportive respirant la santé. Bref, tous les mâles présents ce week-end auraient probablement aimé redevenir un enfant pour profiter de ses soins, maisa priori aucun n’avait pu retenir son attention, même les plus âgés des ados.

Profitant d’un assoupissement presque complet des trois cousins, je quittai la terrasse pour aller me promener dans le parc sans idée précise, mais bientôt mes pas m’amenèrent tout naturellement vers la dépendance, lieu de mon escapade lubrique du matin. L’endroit était paisible et me procurait une légère nostalgie en repensant à Lucie ; et sans bruit je pénétrai dans la bâtisse où manifestement quelqu’un s’activait. Je me dirigeai vers l’origine du remue-ménage et découvris Charlotte rangeant le bazar. Elle sourit à mon arrivée, même pas surprise de me voir.

— Ils ont bien semé la pagaille, ces monstres ! dit-elle en souriant.

Appuyée à la porte, je la regardais faire, admirant au passage sa tenue mettant en valeur ses formes : chemise cool nouée sous la poitrine, faisant ressortir ses seins lourds et minishort en jean donnant très envie de voir ce qu’il cachait à peine !

— C’est de leur âge, non ? lui fis-je remarquer.
— Bien sûr ! En plus, ils étaient tous très mignons. Surtout le petit Tom. Aussi mignon que sa maman…

Comprenant l’allusion, je ne baissai pas le regard et souris, prête à jouer à ce petit jeu avec cette jeune fillea priori pas si innocente que cela.

— C’est vrai ! Elle te plaisait aussi ?
— Vous étiez belles ...

... toutes les deux !

Son regard mutin me fit comprendre que la belle avait tout vu, et que loin de l’avoir choquée, notre exhibition involontaire l’avait peut-être émoustillée. Voulant être aussi joueuse qu’elle, je poursuivis :

— Tu voyais bien depuis la porte ?
— Pas mal… Vous m’avez offert un très joli spectacle !

La scène était hallucinante : elle continuait à ranger tout en tenant des propos coquins avec un naturel étonnant pour son âge.

— Tu n’as pas été choquée, alors ?
— Non, rassure-toi ! dit-elle en riant.

Restée immobile depuis mon arrivée, je voyais Charlotte se rapprocher sans en avoir l’air, au fur et à mesure du rangement. Tel un fauve, je surveillais ma « proie » du coin de l’œil.

— Maintenant qu’elle est partie, je pourrais peut-être prendre sa place ? demanda-t-elle presque naturellement.
— Je pars ce soir. Alors je crois que cela va être compliqué…

Elle eut un sourire malicieux et ajouta :

— Tu vas bien trouver un moyen de rester une nuit de plus… J’ai cru comprendre que tu habitais tout près de mon job d’été. Reste ce soir, et je te rejoins dans ta chambre. Sinon, tant pis pour moi ! Je me caresserai en repensant à toi et à… Lucie, je crois ; non ?

Elle était maintenant tout près de moi et, les yeux dans les miens, elle déposa un baiser léger sur mes lèvres pour quitter aussitôt la bâtisse, me laissant interdite : sa proposition était audacieuse, mais terriblement excitante. Maintenant, pour arriver à mes fins, il allait me falloir ...