Fin de week end torride chez les cousins
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
ff,
Auteur: Love doctor, Source: Revebebe
... d’autant que son sourire éclatant me faisait fondre sur place. Consciente de l’effet qu’elle avait produit, elle prit place au bout de la table en s’excusant pour nous avoir fait attendre un peu trop.
Le dîner se passa paisiblement, animé par des conversations banales, mais sans aucun geste équivoque de sa part sur ou sous la table ! J’en étais presque frustrée, pensant que notre discussion de la fin d’après-midi allait donner lieu à une scène de séduction. Peut-être était-ce la présence d’Hélène qui paraissait préoccupée, regardant sans cesse son portable comme si elle attendait un signal. De mon côté, je savais que Marc était arrivé.
Je ne mentais pas vraiment, car je l’aimais tout de même comme le père de nos enfants, mais la passion n’avait pas résisté à l’usure du temps. Hélène devait vivre la même chose, car elle annonça d’une voix morne que Xavier était à Paris et, quelques minutes après, à la réception d’un nouveau texto et le sourire aux lèvres, qu’elle allait s’absenter une partie de la soirée pour retourner voir sa fameuse amie.
Nos regards se croisèrent tandis que Charlotte avait déjà quitté la salle à manger. Je lus dans ses yeux une lueur qui la trahit : la coquine allait rejoindre son amant, et je compris à cet instant que j’avais été manipulée ; elle avait tout manigancé, se servant de moi comme « couverture », pouvant quitter la maison sans laisser Charlotte seule… À malin, malin et demi ! Je souris, amusée par la situation et curieuse de voir de ...
... quoi sera faite ma soirée avec la jolie blonde.
Où était-elle, d’ailleurs ? Elle avait disparu depuis un moment, me laissant seule au rez-de-chaussée, et j’ignorais où était sa chambre. Je n’allais tout de même pas fouiller tout le manoir, telle une prédatrice. Ce n’était plus de mon âge ! Je grimpai donc les escaliers, le bruit de mes pas résonnant dans la maison désormais presque vide. Arrivée dans la chambre, la nuit n’avait pas encore apporté de fraîcheur et je fus vite moite en préparant mes affaires. Je détestais cette sensation désagréable et me mis nue pour m’en débarrasser.
La cabine de douche ultra-moderne me tendait les bras, et deux minutes plus tard l’eau fraîche trempait mon corps. Les yeux fermés, je gémis de bien-être en réglant les jets d’hydromassage pour détendre tous les muscles de mon organisme. Je me croyais en thalasso et profitai des bienfaits de l’eau, savonnant doucement mon corps lourd. Soudain, le contact d’une poitrine dans mon dos me fit sursauter. Le bruit des jets m’avait empêchée d’entendre Charlotte arriver, et la jeune coquine s’était glissée silencieusement dans la cabine.
Dans mon dos, deux seins lourds et fermes se plaquaient contre ma peau humide et je me cambrai pour m’offrir à cette jeune coquine dont l’audace était équivalente à sa beauté. La bouche dans mon cou, elle empauma mes seins déjà dressés, et telle une maîtresse experte elle s’empara de mes pointes qui furent bientôt agacées, pincées, étirées avec une dextérité ...