1. Deux coquines derrière ces sourires...


    Datte: 14/10/2018, Catégories: ffh, Collègues / Travail Oral 69, fdanus, Auteur: Amacunni, Source: Revebebe

    ... le dossier et le renouvellement du contrat fut signé à 16 h !
    
    Satisfait de ma journée, je décidai de ne pas m’éterniser au travail, de rentrer chez pour me changer et de rejoindre le local de l’association dès que je serais prêt. Je pourrais toujours aider Valérie & Cendrine pour le renouvellement des contrats, m’y connaissant un peu en droit juridique, et nous pourrions ainsi commencer notre réunion à 18 h.
    
    Après avoir pris une bonne douche, je m’habillais de manière décontractée : un jean, un tee-shirt et mes Pumas. Je laissai un mot à mon épouse Chrystelle lui indiquant que je rentrerais certainement vers 20h. Je partis de chez moi à 17h30 et arrivai au local de l’association à 17h35 (ce local se trouvait à 500m de chez moi, dans le village où j’habitais).
    
    Sur le parking se trouvait effectivement la voiture de Valérie (une berline familiale allemande) ainsi que celle de Cendrine (un coupé sportif). J’entrai par le local de l’association où le calme régnait. Je me rendis dans le bureau où j’avais l’habitude de travailler pour vérifier mes e-mails et le courrier. Valérie & Cendrine ne s’y trouvaient pas et je me dis qu’elles devaient être dans la salle où nous tenions les conseils d’administration. En pleine rêverie à lire un e-mail d’un membre de l’association, j’entendis alors des soupirs qui me surprirent !
    
    Ces soupirs continuaient et je me mis à chercher d’où ils venaient. Je me dirigeai naturellement vers la grande salle et les soupirs devenaient en effet ...
    ... de plus en plus forts. La porte était entrouverte et je fus abasourdi par le spectacle qui s’offrait à moi : Valérie était allongée en sous-vêtements sur une table, tandis que Cendrine, elle aussi en sous-vêtements, s’affairait entre ses cuisses.
    
    J’eus un mouvement de recul, ne sachant que faire. Devais-je les regarder, repartir comme si de rien n’était, les interrompre ? Je décidai de les observer. Valérie avait changé de tenue par rapport au matin. Elle avait un soutien-gorge pigeonnant blanc, un porte-jarretelles assorti et son string-ficelle gisait par terre. Cendrine était elle vêtue d’un caraco en dentelle noire et du tanga noir assorti. Je devinai chez Valérie une poitrine en 90B, tandis que Cendrine devait faire un bon 95C. J’admirai et écoutai avec plaisir ce spectacle…
    
    Le sexe de Valérie était épilé de manière quasi intégrale. Seuls subsistaient quelques poils blonds dorés formant un petit « ticket de métro » au-dessus de son clitoris. Je devinais ce sexe luisant de sa cyprine. Cendrine s’appliquait à titiller son petit clito, tout en introduisant un doigt dans son vagin. Celui pénétrait sans mal et la production de mouille confirmait qu’il appréciait ces va-et-vient. Valérie poussait des soupirs de plaisirs :
    
    — Hum, comme c’est bon ! J’adore ! Enfile-moi un autre doigt !
    
    J’étais un peu surpris des termes « crus » de Valérie, mais cela ne faisait qu’ajouter à mon excitation !
    
    — Tiens ma petite cochonne, puisque tu en veux encore plus, je vais même t’en ...
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