Deux coquines derrière ces sourires... - Histoires de Sexe

Deux coquines derrière ces sourires...

... marquerais alors mon étonnement et tenterais de profiter de la situation.

Tandis que je me dirigeais vers la douche, la voix de Cendrine me répondit :

— Salut Jean-Louis. Attends une minute avant d’aller à la douche, je voudrais juste discuter un point juridique des contrats d’intérim avec toi.

Cendrine vint donc au-devant de moi et nous nous retrouvâmes dans la salle où avaient eu lieu leurs ébats. Mon stratagème avait échoué. J’entendais l’eau de la douche couler et j’imaginais Valérie nue se remettant de ses émotions par le bienfait d’une douche apaisante.

— Bonjour Cendrine. Je ne pensais pas que tu étais encore là. Vous ne deviez pas avoir fini à 18 h ?
— Si, mais ensuite nous avons discuté de choses et d’autres avec Valérie.

Tu parles qu’elles avaient discuté de chose et d’autres… Elles avaient effectivement utilisé leurs langues et lèvres, mais à de tout autres activités que la discussion. Il s’était plutôt agi de succion !

— Valérie prend une douche, elle ne devrait pas tarder !

Cendrine m’avait dit cela avec son sourire enjôleur qui avait déjà dû faire craquer plus d’un homme (et peut-être d’une femme !). Elle avait eu le temps de se rhabiller. Elle avait en effet revêtu sa micro-jupe en skaï noir et un décolleté turquoise laissant deviner l’opulence de sa poitrine. Elle avait aussi remis ses hauts talons (je ne l’avais d’ailleurs jamais vue autrement qu’en talons) qui devaient mesurer 10 cm.

— Ce n’est pas grave. Je vais attendre qu’elle ...

... ait fini de prendre sa douche avant d’y aller à mon tour !
— Oh tu sais, peut-être qu’elle apprécierait que tu viennes lui frotter le dos !

Cendrine avait débité cette phrase du tac-au-tac. Je décidai de rentrer dans son jeu.

— C’est sûr que ça doit être agréable de caresser un aussi joli corps, mais cela risquerait de faire jaser…
— Qui pourrait jaser ? Il n’y a que Valérie, toi et moi ? Valérie a oublié sa serviette dans son sac. Je te propose que tu lui amènes…
— D’accord, mais à mon avis, il faut aussi que je lui ramène le string blanc qui traîne sous la table. Comment se fait-il qu’il traîne ainsi ? Elle ne s’est pas déshabillée dans le vestiaire ?

Je remarquai à la mine de Cendrine que je l’avais déstabilisée. Elle ne sut que répondre, si ce n’est :

— Non, non, ce n’est pas à moi, j’ai mis un tanga noir aujourd’hui !
— Dans ce cas, je vais suivre tes conseils et lui apporter sa serviette ainsi que son petit cache-minou.

Je me dirigeai vers la douche en passant par les vestiaires où je trouvai, juchés sur le sol, le soutien-gorge, le porte-jarretelles, les bas couleur chair, une petite robe courte de couleur prune, ainsi que des cuissardes en cuir. À la vue de cette tenue très féminine, mais aussi très sexy, je me demandai si Valérie n’avait pas eu en tête de me chauffer avec cette tenue très excitante ! Valérie me vit arriver et poussa un cri de surprise.

— Jean-Louis, que fais-tu là ? Tu ne devais pas arriver après 18h30 ?
— Ma réunion a fini plus ...