Deux coquines derrière ces sourires...
Datte: 14/10/2018,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
Oral
69,
fdanus,
Auteur: Amacunni, Source: Revebebe
Le printemps est enfin revenu dans notre région. Ce n’est pas que l’hiver fut rigoureux, mais il fut long ! Avec l’arrivée des beaux jours, la gent féminine commence à remettre ses petites jupes dont je raffole tant.
On m’a toujours qualifié d’esthète, non pas que je sois beau, mais car j’aime les belles choses (choses au sens large !)
J’aime donc les belles choses et surtout les belles femmes. Je trouve la mienne particulièrement belle et sexy : souvent en jupe-talons avec de la lingerie fine (string, jamais de culottes, mais pas de porte-jaretelles). Je l’aime énormément mais cela ne m’empêche pas de regarder les autres femmes et parfois de fantasmer sur elles !
Nous étions donc un matin où le soleil promettait d’être au rendez-vous. Cependant, les températures étaient encore loin d’être estivales et nombre de femmes portaient encore des collants ou des bas. C’était le cas de Valérie. J’avais fait sa connaissance dans une association à laquelle nous participions tous les deux. Elle m’avait tout de suite attiré l’œil par son sourire malicieux et son style très féminin.
Elle est très souvent habillée en tailleur (jupe ou pantalon) avec des talons hauts. Elle est de taille moyenne, blonde aux yeux verts et doit avoir dans les 35 ans. J’avais déjà remarqué qu’elle portait des strings sous ses tenues (mon œil que certains diront pervers avait vu cela par « transparence » sous certains de ses pantalons), mais ce matin-là, je constatai que ce n’était pas les seuls ...
... éléments de lingerie sexy qu’elle portait. En effet, alors qu’elle se baissait pour ramasser le stylo qu’elle avait fait tomber, je pus constater à l’entrebâillement de sa jupe, que ce jour-là elle portait aussi une guêpière (porte-jarretelles) en dentelle noire. J’en fus très surpris car je l’imaginais très féminine, mais pas aussi « coquine ». Ma surprise fut accompagnée d’un émoi qu’un œil averti aurait pu apercevoir au creux de mon pantalon !
Nous reprîmes notre discussion et nous convenions d’un rendez-vous pour le soir même car nous devions finaliser le bilan comptable de l’association à laquelle nous participions :
— Je vous propose que l’on se retrouve au local vers 18 h.
— Euh, non désolé, Valérie, j’ai une réunion au travail et je pourrais difficilement arriver avant 18h30.
— Ce n’est pas grave, j’ai un autre sujet à traiter à 17 h avec Cendrine concernant le renouvellement des contrats d’intérim. Je trouverai bien à m’occuper jusqu’à 18h30.
— D’accord, donc rendez-vous à 18h30, en espérant que je ne sois pas trop en retard.
J’avais en effet ce jour-là une réunion de négociation commerciale avec un de nos plus gros clients et je pensais que cette réunion pourrait s’éterniser. Je passais ma matinée à préparer avec minutie ma réunion de l’après-midi en repensant de temps en temps à l’émoi que m’avait procuré la vue de la guêpière de Valérie. Ma réunion se passa admirablement bien : le client avait confiance en nous, mes équipes et moi-même avions bien préparé ...