Evolutions (4) - Histoires de Sexe

Evolutions (4)

... un instant magique, puisque ses petites lèvres restent collées à leur grandes-sœurs, parce qu’elles sont humides de plaisir. Ses nymphes sont plus ou moins triangulaires, ce qui fait que dans cette position elles forment un losange, dont les pointes qui sont sur les côtés, se situent environ aux trois quarts de leur hauteur. Les bords ne sont pas lisses, mais comme chiffonnés et bruns, pour devenir progressivement rose en allant vers leur milieu, à l’endroit où elles se rejoignent pour former la fente, qui ferme toujours l’entrée de son vagin. Et si elles se réunissent en bas à quelques centimètres de son anus fripé, lui aussi brun, elles le font également en haut juste sous son clitoris. L’ensemble me donne l’impression d’être une tranche de roast-beef, très très appétissante.

Son clito, qui est beaucoup moins réservé que celle à qui il appartient, est sorti de son capuchon, et il pointe fièrement le bout de son nez. Il a la même forme que mon gland, tout en étant beaucoup plus petit et sans avoir de fente au bout, et il est d’un rose nettement plus vif que ses nymphes, sans doute à cause de l’humidité permanente, qui règne dans les recoins de sa grotte protectrice.

Je dois avoir un air émerveillé, puisqu’Alice me dit de sa voix grave, douce et rauque en même temps :

— On dirait que tu viens de voir un miracle, mon Amour.

Ce n’est pas la première fois qu’elle m’appelle de cette manière, mais à cet instant nous avons largement dépassé le stade du simple ...

... échange de paroles, et ce mot vient pour moi de prendre tout son sens. Pourtant je fais semblant de ne pas l’avoir remarqué, et je lui réponds :

— Tu as raison. Voir autant de trésors au même endroit, c’est absolument merveilleux.

₪₪₪

Alors tandis qu’elle me sourit tendrement, je m’agenouille devant elle comme pour prier, mais au lieu de cela, je me penche en avant en glissant mes mains sous ses cuisses, et je donne des coups de langue gourmands entre ses grandes lèvres et leurs petites sœurs. Je recueille ainsi un peu de sa mouille, que je me dépêche d’avaler, et je répète :

— Oui, absolument merveilleux.

Je m’applique ensuite à lécher sa vulve dans ses moindres recoins, comme si je voulais la nettoyer, mais en évitant avec soin son clitoris, qui doit en toute logique et de loin, être l’endroit le plus sensible de son anatomie. Alice n’a pas l’air malheureuse du traitement que je suis en train de lui administrer, bien au contraire, puisqu’elle se met à pousser des soupirs de contentement de plus en plus profonds, tout en posant ses mains sur ma tête pour me caresser les cheveux.

Elle est aussi discrète quand il s’agit d’exprimer son plaisir que le reste du temps, ce qui me plaît énormément, tant je déteste les femmes qui manifestent trop bruyamment leur jouissance. Cela me fait en effet immanquablement penser aux actrices porno, qui dans la grande majorité des cas simulent de manière exagérée.

Cependant, lorsqu’au bout d’environ cinq minutes, et bien que sa ...