Evolutions (4) - Histoires de Sexe

Evolutions (4)

... sa figue devenir de plus en plus humide, tandis que ma queue dressée est coincée bien au chaud entre nos deux ventres. Cependant, pas plus que moi, elle n’a l’air d’avoir envie de précipiter les choses, et nous continuons à danser tout en nous excitant mutuellement, le temps que durent cinq chansons.

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C’est Alice qui rompt le silence, et tandis que je vois rougir celle de ses deux oreilles qui est dans mon champ de vision, elle me demande :

— Tu te rases les couilles toi-même ?

Sa question est tellement inattendue que je suis pris d’un fou-rire nerveux, qui est contagieux puisqu’elle se joint à moi, et lorsque nous sommes arrivés à retrouver un peu de sérieux, je lui réponds :

— Je ne te l’ai pas précisé parce que ça ne m’a pas semblé important, mais Charlène est esthéticienne. Au début, je trouvais ça complètement idiot de me faire épiler à cet endroit. Mais elle a su me convaincre, en m’expliquant que comme ça elle pourrait me gober les testicules, quand elle me sucerait. Lorsqu’elle m’a enlevé mes poils, je me suis senti ridicule, mais la première fois qu’elle a mis mes boules dans sa bouche et qu’elle a commencé à les téter, j’ai immédiatement changé d’avis. Par la suite, elle a supprimé d’autres poils sur mon ventre et mon torse, pour que le contraste ne soit pas trop choquant, et on a fini par passer à l’épilation au laser, qui est en principe définitive.

Alice n’a pas l’air choquée par ce que je viens de lui révéler, étant donné qu’elle continue à ...

... se frotter contre moi de plus en plus langoureusement, sans faire de commentaire. Par conséquent, j’ajoute :

— Une fois que tu l’auras rencontrée, tu pourrais aller voir Charlène dans son salon pour faire pareil sans aucune crainte. Car bien qu’elle soit bisexuelle, je sais qu’elle est capable dans son travail de laisser ses émotions de côté, et faire preuve d’un grand professionnalisme.

Cette fois, ma partenaire réagit, et elle me répond :

— Est-ce qu’une de tes anciennes compagnes a eu avec elle des rapports, qui étaient autres que professionnels ?

— Oui. Une de celles dont je t’ai parlé, et avec qui on faisait des parties à quatre. Lorsque je l’ai rencontrée, elle était hétérosexuelle, mais elle a su se laisser convaincre par Charlène, qui tout comme toi est une très belle personne.

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Alice redevient silencieuse, et nous continuons à danser pendant une autre série de cinq slows. Sa vulve est de plus en plus mouillée, au point que les poils de ma cuisse en deviennent poisseux, et je finis par lui dire :

— Tu sais, je te ferais jouir beaucoup plus rapidement et plus sûrement avec ma langue.

— Mon mari ne s’est jamais occupé de moi de cette façon, mais j’ai très envie d’essayer.

Je la lâche immédiatement, et je lui fais :

— Dans ce cas, va te mettre sur le fauteuil dans lequel j’étais assis, et place tes jambes sur les accoudoirs.

Elle m’obéit sans hésiter, même si elle rougit lorsqu’elle écarte les cuisses en grand devant moi. Je vis alors ...