Evolutions (4) - Histoires de Sexe

Evolutions (4)

ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 04 : Bingo.

Ma strip-teaseuse ne porte plus que ses bas fumés, son porte-jarretelles rouge, et ses escarpins de la même couleur, mais à talons aiguilles noirs. Bien que son exhibition soit terminée, elle continue à danser seule, tandis que la chanson précédente a été remplacée par Hello de Lionel Ritchie. Je décide par conséquent d’aller la rejoindre, mais avant, je retire mes chaussettes avec lesquelles je me sens ridicule, d’autant plus que ma queue est toujours raide. Tout en m’avançant vers elle, j’enlève également mon polo, qui va rejoindre en volant sa robe et ses sous-vêtements.

Mon ventre plus rebondi que le sien, et mes pectoraux enrobés de graisse n’ont pas l’air de la décevoir, puisqu’elle accueille ma venue avec un sourire que je trouve charmant, et tandis que je lui ouvre mes bras, elle vient sans hésiter s’y blottir. Même avec ses talons d’une dizaine de centimètres, elle est encore plus petite que moi, mais pas beaucoup, puisque mes yeux se retrouvent au niveau de son front. Elle est tout de même obligée de lever la tête pour me regarder, et alors que nous commençons à danser, j’en profite pour poser mes lèvres contre les siennes. Contrairement au premier que nous avons échangé, le baiser qui suit n’a rien de chaste, puisqu’elle ouvre aussitôt la ...

... bouche, et j’en profite pour y enfoncer ma langue, qui va immédiatement se frotter contre la sienne.

Au début, Alice est hésitante, mais tandis que je fouille l’intérieur de sa bouche dans les moindres recoins, elle se décide à en faire autant ; et nous finissons par faire tourner nos appendices buccaux l’un autour de l’autre, tandis qu’ils se caressent mutuellement. Ce fougueux baiser fougueux dure plus d’une minute, et nous sommes obligés de l’interrompre pour reprendre nos souffles ; tout en nous mangeant des yeux, comme les deux adolescents que nous sommes redevenus l’espace d’un moment.

Pas un seul instant nous ne nous sommes arrêtés de danser, et Alice vient à présent se coller à moi, en écrasant sa lourde poitrine contre mon torse nu, et sans se soucier que mon sexe au gland décalotté vienne au contact de son ventre. Par conséquent, je resserre mon étreinte, en plaçant dans son dos ma main gauche sur mon poignet droit, alors qu’avant, je me contentais de la tenir par la taille, puis j’intercale une de mes jambes entre les siennes.

Cela n’a pas l’air de la déranger, bien au contraire, puisque tandis que mon petit bout de femme pose mon menton sur mon épaule, je sens sa vulve venir se presser contre le muscle de ma cuisse. Alors que nous tournons lentement soudés l’un à l’autre, et que je caresse ses fesses charnues que je trouve à la fois douces et chaudes, elle commence à se frotter contre moi comme le ferait une chatte en chaleur. Je sens ses tétons durcir et ...