Solène, ma ille chérie - Histoires de Sexe

Solène, ma ille chérie

... épaule comme le fait une tendre amante. Le marché terminé nous prenons un café sur une terrasse. Nos voisins de table nous regardent d'un sale œil ce qui nous incite à nous montrer très câlins, buvant notre café en se tenant par la main et nous murmurant des propos à oreille qu'ils imaginent salaces. En réalité, nous nous moquons de leur réaction. Cela les exaspère de nous voir ainsi et on entend leurs propos selon lesquels je suis un infâme bonhomme qui profite d'une jeunette qui pourrait être ma fille. Cela ne fait qu'accroître nos désirs de provocation Solène se leve en me disant ;

-On y va mon papounet chéri, j'ai hâte de retrouver notre nid d'amour.

-Quel beau programme mon amour, je te suis ma fille adorée.

Elle me tient la main comme je me lève et me tend ses lèvres sur lesquelles je dépose un tendre baiser. Nous laissons derrière nous le couple de ronchons aigris et pour finir de les exaspérer je glisse ma main sur la fesse de ma fille que je pelote sans vergogne. Si jusqu'à la là nos minauderies avaient été innocentes et uniquement destinées à provoquer les mal pensants, cette caresse, elle, revêt un double sens. Je nargue nos voisins de table mais c'est aussi un moyen de faire sentir à Solène que je la ...

... désire.

Solène colle sa bouche contre mon oreille, et me murmure ; ils vont avoir une attaque en voyant comme tu me pelotes les fesses papa.

-C'est certain, voir un père qui caresse le cul de sa fille, une vraie honte. Mais en réalité c'est très agréable tu as des fesses très douces ma fille.

-Mais enfin tu es mon père, tu n'as pas honte, dit-elle en riant nerveusement.

Nous avons quitté le marché mais je laisse ma main sur la fesse moelleuse de ma fille, sa rondeur emplissant ma main d'une douceur sensuelle et si féminine.

Solène murmur à nouveau à mon oreille, nous avons quitté le marché ils ne peuvent plus nous voir, tu peux arrêter de me caresser papa.

-Excuses-moi Solène, j'espère que je ne t'ai pas froissée ma fille. Je me suis laissé emporter.

Nous sommes face à face, nos visages à quelques centimètres de l'un de l'autre je sens son souffle chaud sur mes lèvres.

-Non papa, c'est même très agréable.

Je m'abstiens de répondre et je colle mes lèvres sur les siennes qui s'ouvrent pour laisser nos langues faire connaissance et s'enlacer.

-Tout est dit n'est ce pas papa.

-Oui ma chérie, mais que va t on faire. Je t'aime si fort mais tu es ma fille.

-Peu importe on va s'aimer un point c'est tout.