Solène, ma ille chérie - Histoires de Sexe

Solène, ma ille chérie

... joyeuse, Solène se plaît à revenir en enfance, refaisant les mêmes remarques enfantines que lorsqu'elle était petite fille et que nous nous promenions dans ces lieux. Cependant, la nature a ses exigences et Solène a une envie pressante d'uriner. 

-Il nous faut combien pour arriver à la cabane.

-Une demi-heure environ.

-Je ne pourrais pas tenir jusque là. J'ai trop envie.

-Et bien fait pipi au bord du chemin je surveille si quelqu'un arrive.

Et sans attendre elle me tourne le dos en baissant son short et son minuscule string. En s'accroupissant ses fesses s'élargissent et je sens ma verge se dresser dans mon pantalon. Je bande pour ma fille ! Le bruit du jet d'urine ne fait qu'amplifier mon excitation. J'évite de la regarder, jetant des regards en amont et en aval du chemin de peur qu'un intrus ne vienne déranger ma pisseuse. Mais rien ne peut calmer mon trouble et ma fille, par son naturel innocent, vient jeter de l'huile sur le feu en restant accroupie les cuisses écartées lorsqu'elle me demande un mouchoir en papier.

Je n'ais qu'un mouchoir en tissu à lui offrir et je me retrouve face à elle qui se tient accroupie son sexe offert à ma vue. Je ne peux la quitter des yeux lorsqu'elle essuie sa chatte velue.

Elle me rend le mouchoir en me remerciant et se réajuste, à mon grand regret, sa chatte est encore plus belle que ses fesses !

-Merci papa et excuses-moi de t'avoir imposé un tel spectacle .

-C'était charmant, ma fille, tout ce qui vient de toi ...

... est beau ma chérie.

-Tu es un ange me dit-elle en déposant un bisou sur les lèvres. 

Elle prend ma main et nous reprenons le chemin du retour joyeusement, parlant haut et fort. Arrivés à la cabane, je dois soulager ma vessie et me retire dans les toilettes où je ne peux résister à l'envie de me masturber en pansant au sexe velu et aux immenses fesses de ma Solène chérie. Et cette masturbation est d’autant plus excitante que je me sert, pour frotter mon gland décalotté et ma  verge raide, du mouchoir avec lequel elle a essuyé sa chatte mouillée.

Ayant retrouvé la sérénité après ma branlette, nous préparons le dîner qui se prolonge tard dans la soirée tant nous étions heureux de nous retrouver tous les deux profitant d'une légère fraîcheur.

Et arrive l’heure de nous coucher, et Solène me demande si elle peut rester dormir, l'heure étant avancée et elle a trop arrosé le dîner pour pouvoir reprendre le volant.

Bien évidemment je lui oppose, sans trop insister, que le lit est étroit pour deux. Elle ne tient pas compte de mon objection, à ma grande joie bien évidemment, tout en éprouvant une certaine appréhension de ne pouvoir cacher, serrés l'un contre l'autre, mon émoi  et mon désir sensuel.

La lampe de chevet délivre une lumière tamisée rendant plus sensuel le corps de ma fille qui a tôt fait de retirer son haut et son petit short, ne conservant pour dormir que son minuscule string dont la ficelle se perd dans la raie de ses fesses rondes et joufflues, tandis ...