Solène, ma ille chérie - Histoires de Sexe

Solène, ma ille chérie

... d'éloges sur son petit garçon et je vois bien que cet entrain cache un vague à l'âme dû à la séparation d'avec son petit bout de chou.

Le rasage terminé je lui demande si cela lui convient. Elle passe sa main sur mon visage.

-C'est bien mieux ainsi, je retrouve le papa que j'ai connu, toujours rasé de près.

-Je veux ma récompense, alors ces bisous ?

Elle n'hésite pas un instant et couvre mes joues de baisers, elle poursuit son jeu en embrassant mon menton, puis sous les lèvres puis au dessus et dans l'élan pose ses lèvres sur ma lèvre intérieure.

-Tu es content, dit-elle en éclatant de rire.

-Ravi ma chérie quel bonheur que tu sois venue.

Nous passâmes la fin de matinée à parler de choses et d'autres sans importance juste pour le plaisir de se retrouver et d'être ensemble. Le déjeuner fut simple mais ce fut l'occasion de faire une grillade comme lorsque l'on était une famille avec sa mère et son frère. Le repas fut arrosé et malgré la présence de Solène je n'avais qu'une envie, celle de faire une petite sieste, on ne perd pas facilement les bonnes habitudes.

-J'en ferais bien une aussi papa, je me suis levée très tôt ce matin.

-Si tu es prête à partager mon lit.

-Qu'attendons nous.

Et nous voici tous les deux dans l'obscurité de la chambre où elle se défait de son tee-shirt sous lequel sa petite poitrine est nue. Vêtue de son seul short elle s'allonge sur le lit où je la rejoins. Malgré la chaleur elle se blottit contre moi.

-Toi aussi, ...

... tu as du mal à vivre ta séparation ma petite ?

-Oui papa, je me suis encore trompée. Je n'ai pas de chance avec les garçons. Tous plus bêtes les uns que les autres.

-Vous sembliez bien vous entendre pourtant. Je n'ai pas compris pourquoi tout d'un coup tout s'est brisé entre vous.

-Si tu veux tout savoir, il voulait que je couche avec un de ses copains

-L'imbécile!

-Un de ses amis est resté dîner et à la fin du repas il a fait des remarques sur mon physique, il a dit à son ami que si mes seins étaient petits en revanche mes fesses elles étaient bandantes, bandantes tu imagines.

-C'est un salopard, on ne parle pas ainsi d'une femme surtout de sa copine.

-Il voulait que l'on couche tous les trois pour que l'autre puisse réaliser combien mon « cul était bandant ». Et malgré mon refus il a insisté. Et après le départ de son copain il m'a fait une scène pour avoir refusé de coucher tous les trois ensemble. Je le faisais passer pour un imbécile auprès de son ami....

-Tu as bien fait de le larguer. Tu es si belle, oublie le.

-J'essaie mais ce n'est pas facile tu sais ce qu'il en est.

-Oui après tout ce temps c'est dur.

-Cessons de parler de tout cela, on ferait mieux de faire cette sieste.

Le vin nous aida à dormir longuement, il était prêt de 17 heures lorsque je la sentis bouger. Nous bûmes de grands verres d'eau fraîche avant d'aller nous promener dans la garrigue profitant de la fraîcheur toute relative apportée par la brise.

La ballade est ...