1. Les petits plats dans les grands


    Datte: 07/02/2018, Catégories: fh, 2couples, piscine, Collègues / Travail soubrette, pénétratio, hgode, hsodo, échange, Partouze / Groupe confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... comment tu peux m’expliquer… De la cuisine à l’exhibition…
    — Mais c’est de ta faute… ou grâce à toi… Selon le point de vue où on se place.
    — Comment ? Moi ? Mais qu’est-ce que j’ai à faire dans cette histoire.
    — Oh, mais c’est bien simple. Tu te souviens, il y a un an peut-être, je débutais dans la cuisine à domicile, et tu m’as défiée d’aller travailler sans culotte.
    — Oui, en effet, je m’en souviens. Une plaisanterie.
    — Oui, mais avec des conséquences.
    — Quoi, un client s’est mal comporté.
    — Pas du tout, mais c’était au début, je travaillais presque à perte pour me faire une clientèle et…
    — Quoi ? Et… et quoi… ?
    — J’étais dans la cuisine. Son four était sous le plan de travail et je me suis penchée pour regarder la cuisson. J’ai remarqué alors que mon client était là et me regardait. Moi, j’avais oublié cette histoire de culotte et comme j’étais penchée en avant, la robe remontée, il a très bien vu.
    — Et quoi, il t’a sauté dessus ?
    — Oh non ! C’était un parfait gentleman. Mais alors que je m’excusais de ma nudité en parlant d’un pari avec mon mari, il m’a fait une proposition.
    — Quoi, coucher avec lui.
    — Mais non, tu vois le mal partout. Non, c’était un esthète. Un voyeur. Un cérébral. Il m’a proposé, en échange d’un billet de 50 € de continuer à servir, mais en m’arrangeant pour que ma robe remonte.
    — Quel cochon.
    — Oh, ça va, pas toi qui es le premier à mater les serveuses ou les filles en maillots.
    — Bon, d’accord, et alors.
    — Alors, comme je ...
    ... travaillais à perte, l’idée m’est apparue pas si mauvaise et j’ai renchéri.
    — Quoi ?
    — À poil sur la plage ou à l’intérieur, c’est pareil.
    — Ah, je ne te savais pas si libérée.
    — J’ai proposé 150 € et je me mettais à poil, mais en gardant mon tablier et à la condition que personne ne me touche.
    — Et ?
    — Il a accepté. Et cela s’est très bien passé. Je n’ai eu que des compliments… sur ma cuisine… et sur le service…
    — Évidemment.
    — Ensuite cela a fait boule de neige. Ma prestation a vite fait le buzz. Maintenant on m’appelle aussi pour mon service.
    — Donc, c’est vrai, hier tu as servi ce couple en te déshabillant à chaque plat, pour finir avec ce tablier… au fait ou est-il cet accessoire ? Moi, je ne l’ai jamais vu… et en plus tu t’es caressée en les regardant.
    — C’est vrai, je le reconnais. Ce genre de situation n’est pas excitant que pour les clients, pour moi aussi. Alors lorsque je les ai vus baiser, je n’ai pas pu me retenir… Mais je ne te savais pas fétichiste. Tu peux me voir toute nue, alors !
    — Quoi, merde, moi aussi j’ai des neurones qui gambergent et savoir ma copine qui se pavane à poil et que des mains peuvent…
    — Non, pas de contact. Chéri, je suis intraitable, il n’y a que toi… Tu es jaloux… Tu m’en veux… mais cela marche si bien avec ce service particulier…
    — Je te crois, mais ce tablier… j’aimerais…
    — J’ai compris… Va dans la chambre, je vais le chercher…
    
    Comment font les hommes pour se retenir d’aller caresser ce que ma coquine de Lise leur montre ? Le ...
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