1. Meriem, alias, Marie


    Datte: 12/10/2018, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: mr-courage, Source: xHamster

    ... avec la fiancée. Au milieu d’eux, Linda, la fille de Marie, qui se trémoussait telle une diablesse au milieu du groupe. Elle avait ceint un foulard autour de ses hanches et dansait une de ces danses kabyles presque érotiques, tant elle était pleine de sensualité. Dansée par des filles ou des femmes, la danse kabyle consiste à bouger les hanches et les fesses à un rythme endiablé, laissant le reste du corps pratiquement immobile. De temps en temps, la danseuse faisait un petit pas de côté et se remettait à faire jouer ses hanches et son fessier. Quand la femme, ou la fille, était belle et avait des hanches et un fessier développés, cela créait une ambiance d’un érotisme torride. Et c’était le cas avec toutes ces jeunes filles, y compris la fiancée, qui se trémoussaient au milieu de la piste.
    
    Je quittais l’endroit en gardant l’image du petit cul de Linda qui se balançait au rythme du bendir et de la zorna et celle de sa mère dont je me remémorai la beauté et la sensualité d’antan. N’ayant rien d’autre à faire, je me décidai à aller au lit assez tôt, pour être en forme le lendemain, car même si c’était un vendredi, donc jour férié, une dure journée de travail m’attendait. La sonnerie du téléphone me réveilla vers minuit.
    
    - Allo, Rafik ! C’est moi, Meriem
    
    - ….
    
    - Meriem ! Marie, quoi ! Je t’ai réveillé, je vois. Excuse-moi. Il fallait que je te parle ! Mon mari est entrain de dormir. Tu sais depuis l’après-midi, je n’arrête pas de penser à toi et de me remémorer tout ...
    ... ce que nous avons vécu ensemble. Tu peux me rejoindre demain matin dans mon cabinet ? Il faut absolument que je te parle d’une chose super importante pour moi.
    
    - De quoi s’agit-il ?
    
    - Viens demain et tu le sauras !
    
    Elle raccrocha immédiatement, sans me laisser le temps de l’interroger plus et de connaître le fin mot de l’histoire. Je passai le reste de la nuit sans pouvoir me rendormir à réfléchir à ce que pouvait bien mijoter Marie.
    
    Le lendemain vers dix heures, je sonnai à la porte de son cabinet médical, qui se trouvait au premier étage d’un immeuble d’habitation. Elle vint m’ouvrir, vêtue d’une blouse blanche de médecin, sans manches et qui s’arrêtait au-dessus des genoux. J’étais sûr qu’elle ne portait aucun vêtement en dessous, hormis un soutien-gorge et une petite culotte, dont j’apercevais les contours à travers le léger tissu de la blouse. Comme cela, elle était à croquer. Je me rendais compte qu’elle était restée aussi désirable qu’elle l’était, une trentaine d’années auparavant. Elle avait juste un peu grossi au niveau de la taille et des hanches. Elle devait certainement faire beaucoup de sport pour maintenir une telle forme physique.
    
    Elle me prit par la main pour me faire entrer et m’amener vers une salle aménagée en chambre de repos, avec un immense sofa, deux fauteuils individuels, une petite armoire, une table basse et, dans le coin un petit réfrigérateur. Elle m’expliqua qu’elle passait la plupart de son temps au cabinet et quand elle avait un ...
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