Meriem, alias, Marie
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Anal
Mature,
Première fois
Auteur: mr-courage, Source: xHamster
... avec son mari, un grand gaillard, aussi blond que Marie était brune, et sa fille Linda qui devait avoir dix-huit ans. Elle me présenta à l’un et l’autre, en qualité de frère d’une ancienne camarade de Lycée avec laquelle elle était très liée. Elle était vêtue d’une de ces tenues traditionnelles algéroise (un Karakou noir, brodé de fils d’or et un saroual en satin noir, échancré sur les côtés jusqu’à une dizaine de centimètres au-dessus des genoux) qui accentuait ses formes toutes en rondeurs qu’elle avait gardées intactes. Mon regard était attiré comme par un aimant par ses genoux ronds et le début de ses cuisses qui apparaissaient subrepticement sous son saroual. Elle s’en rendit très vite compte et me fit un sourire tellement aguicheur, que je sentis comme une agréable décharge électrique au niveau de mon échine.
Un tas de souvenirs coquins me remontaient à la tête et je sentais en moi un émoi qui me chatouillait le bas-ventre et commençait à réveiller mon sexe. Son mari fut appelé par un jeune homme qui avait besoin de quelque chose et nous laissa seuls sa femme et moi. Sa fille Linda nous avaient quittés quelques minutes auparavant pour aller danser et se trémousser sur une musique Kabyle endiablée.
- Qu’est-ce que tu deviens ? M’interrogea-t-elle !
- Je suis entrepreneur en bâtiment, répondis-je. Et toi ?
- J’ai ouvert un cabinet de cardiologie dans un quartier populaire.
- Ça marche bien pour toi ? Tu as beaucoup de patients ?
- Pas mal ! Je n’ai pas ...
... à me plaindre
Nous continuâmes ainsi à parler de choses et d’autres sans oser aborder le sujet qui nous taraudait ; ou du moins qui me taraudait moi. Je lui fis des compliments sur sa beauté qui était restée intacte. Lui posait des questions sur ses enfants (elle en avait trois : un garçon de vingt-deux ans, une fille de vingt ans et la dernière, Linda que j’avais vue auparavant, dix-huit ans).
- Et toi, tu es marié ? Tu as des enfants ?
- Non je suis toujours célibataire. Aucune femme raisonnable ne veut lier sa vie à la mienne. Je suis resté bohémien dans l’âme et continue, comme auparavant, à papillonner d’une fleur à l’autre. En vérité, je n’ai pas encore rencontré l’âme sœur, celle avec qui je n’hésiterai pas à déposer les bagages.
Nous vîmes son mari au loin qui revenait vers nous. Cela mit fin à notre discussion. Mais avant qu’il ne parvienne jusqu’à nous, elle me demanda mon numéro de téléphone, pour le cas où elle aurait besoin de m’appeler. Je lui refilai discrètement ma carte de visite, qu’elle mit vite dans son sac, avant de lancer un sourire éblouissant à son mari qui venait de nous rejoindre. Je pris congé d’eux en faisant une bise amicale à Marie et en serrant la main de son mari.
Je ne restai pas longtemps à la fête. Je fis juste un tour à l’intérieur de la salle, allant à la recherche de mon ami pour le féliciter et prendre congé de lui. Au passage, je remarquai un groupe de jeunes, garçon et filles, qui faisaient un boucan d’enfer en dansant ...