Meriem, alias, Marie
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Anal
Mature,
Première fois
Auteur: mr-courage, Source: xHamster
J’avais revu Meriem, trente ans après notre première rencontre, au cours d’une fête qu’organisait un ami commun, haut fonctionnaire, dans un grand hôtel sur les hauteurs d’Alger, pour les fiançailles de sa fille. Je l’avais connue, alors qu’elle venait juste d’avoir vingt-ans et qu’elle entreprenait des études de médecine. J’étais moi-même étudiant (en sciences économiques) et j’avais la chance de disposer de l’appartement que mes parents m’avaient laissé, au centre d’Alger, alors qu’eux étaient partis jouer aux gentlemen-farmers, à une cinquantaine de kilomètre de là.
J’organisais régulièrement des petites fêtes (à l’époque, on appelait cela des boums) entre amis, où chacun venait avec sa copine ou son copain (selon qu’il était garçon ou fille) pour s’éclater en dansant, chantant et plus…si affinité.
Meriem, que j’avais tout de suite appelée Marie (par référence à la vierge Marie), participait à la fête pour la première fois. Elle avait accompagné une amie commune, elle aussi étudiante en médecine, qui l’avait convaincue de venir passer un agréable après-midi, à danser et s’amuser avec une bande de jeunes super sympas. C’était une belle plante très brune, avec des rondeurs qui damneraient un saint. Ce qui était exceptionnel chez elle, c’était sa forte carrure, ses épaules larges et une poitrine arrogante dont les seins pointaient fièrement de dessous une chemise en coton, dont les deux premiers boutons étaient volontairement dégrafés, pour exciter le quidam qui la ...
... regardait.
Je remarquais, en apercevant le dessus de ses seins mats, qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Et malgré cela, malgré leurs dimensions monumentales, ses seins n’avaient aucun besoin d’être soutenus pour pointer vers l’avant comme deux gros obus menaçants. Le reste du corps était du même calibre : des hanches proéminentes, étroitement serrées dans un jean délavé très collant et un fessier rond et bombé qui poussait vers l’arrière, à l’image de ceux des femmes africaines. Elle avait d’immenses yeux en forme d’amandes, de couleur marron foncé, presque noirs, qui devaient briller comme des lucioles la nuit. Son visage était rond, avec un petit nez bien droit et une bouche qui semblait obscène, tant elle ressemblait à un superbe sexe féminin, en attente de pénétration.
C’était cette image qui m’avait poursuivi tout au long de l’après-midi, tandis qu’elle dansait (rock, jerk et toutes sortes de danses occidentales modernes) et se tortillait de manière tellement lascive et sensuelle, que presque tous les garçons s’étaient arrêtés de danser pour l’admirer. Visiblement, elle aimait l’effet qu’elle produisait : le désir chez les garçons et la jalousie chez les filles, qui voyaient en elle une concurrente, avec laquelle elles ne pouvaient pas rivaliser. C’était une vraie machine à faire bander les hommes.
J’étais obnubilé par cette bouche et ces lèvres qui éveillaient en moi des tonnes de fantasmes. Mais ce jour-là, étant avec une copine, qui était devenue ma ...