Le voyage
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
69,
nopéné,
aventure,
fantastiqu,
Auteur: Lise-Elise, Source: Revebebe
... le gland turgescent. Près, trop près. Fyrag s’éloigna à regret de ses lèvres, parcourut son torse de sa bouche. Il évitait ainsi le si doux piège. Il ne voulait pas. Elle ne le voulait pas.
Les mains de Thyris s’accrochaient à sa nuque, à ses bras. Elle soupirait, semblait chercher quelque chose. Elle tira un peu sur le bras de Fyrag, et, après quelques hésitations, il comprit. Il se retourna, les jambes de part et d’autre du joli corps, continua à lécher. Il ne pouvait rien faire, vraiment rien de grave, avec sa langue. Il plongea donc avec délice sur la fleur ouverte et noyée de rosée, et Thyris, pour lui faciliter la tâche, bascula le bassin en avant. Elle-même avait posé ses mains autour de la tige dressée, et avec des mouvements lents, peu réguliers, attisait le désir du garçon.
Il eut envie d’y mettre aussi la main. Mais le danger, là, était trop grand. Pour s’en garantir, il empoigna les fesses de Thyris, et les fit onduler à sa guise, s’offrant le meilleur angle pour boire à grands coups de langue le doux liquide, ou pour taquiner, à petits impulsions, le pistil érigé de la demoiselle.
Celle-ci en voulait d’avantage. Elle se frottait littéralement au visage de Fyrag et se tortilla pour emboucher sa hampe. La position n’était pas des plus simples : plus petite que son partenaire, elle obligeait celui-ci à se ramasser pour lui permettre de l’atteindre, alors qu’elle-même peinait à garder le sexe en bouche. Ne voulant pas y renoncer, elle opta pour une autre ...
... solution. Elle fit aller et venir ses lèvres, sa langue, le long de la baguette, appuyant sa caresse ou la faisant plus douce. C’était au tour de Fyrag de gémir sourdement. Il aspira le clitoris, elle se concentra sur la base du gland. Ils prirent leur plaisir ensemble, et Fyrag s’abattit à côté d’elle, épuisé.
Il était en train de plonger dans le sommeil, avec l’idée sombre qu’il fallait absolument remettre du bois sur le feu, pour ne pas qu’il s’éteigne, lorsqu’il sentit quelque chose de froid sur son visage. Thyris le débarbouillait avec un linge humide, puis elle le recouvrit d’une couverture sèche, celle dans laquelle ils avaient roulé étant trempée de sueur. Il entendit le choc de deux bûches sur le feu, le crépitement des étincelles. Il était bien. Il s’endormit.
Il rêva. Derina et Rhonda discutaient. Elles lui étaient familières, très familières. Il n’entendait pas bien ce qu’elles disaient, alors il se rapprochait.
— Ce seront peut-être ceux-là.
— Ce serait dommage, le garçon est falot et la petite vaut mieux que ça.
— Tu as déjà joué les apprenties sorcières, mais tu ne trompes que celles qui le veulent. Ce qu’Atilbis ne sait pas, tu ne le sais pas non plus.
— Tu n’es pas drôle. J’aurais quand même bien croqué cette jolie pomme.
— Elle l’a refusé. Ça n’est pas si courant.
— Ça ne veut rien dire. D’autres épreuves les attendent.
Elles parlaient encore, mais il ne les entendait plus. Elles lui semblaient différentes de celles qu’il avait rencontrées, ...