Le voyage
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
69,
nopéné,
aventure,
fantastiqu,
Auteur: Lise-Elise, Source: Revebebe
... gens hochèrent lentement la tête. Ils voyaient à peu prés ce que Rhonda voulait dire. La légende disait qu’avant l’événement, Atilbis était un dieu proche des gens, parcourant les routes sous divers aspects, parfois homme, parfois femme, et aidant chacun à trouver le meilleur chemin. Mais il avait prophétisé que le chemin serait défini par deux personnes, un homme et une femme, et que nul n’interviendrait dans ce choix. Pas même lui.
Ils avaient maintenant un but, et ils se hâtèrent de retrouver la mule. Rhonda les rattrapa alors qu’ils quittaient la vallée. Elle insista pour qu’ils emportent des vivres. La mule renâcla quand on ajouta cette nouvelle charge sur son bât.
Le voyage vers la forêt d’Alldande se passa sans histoire. La saison avançait, et Thyris avait de plus en plus de mal à se réchauffer, le soir venu. Elle refusait malgré tout de changer de vêtements. Un soir où ils avaient trouvé refuge dans un ancien poste de guet, Fyrag dû frictionner sa compagne sur tout le corps : elle grelottait, claquait des dents malgré la chaleur vive du feu.
Elle avait jusque-là gardé ses distances, mais elle ne protesta pas quand le garçon ôta la couverture dans laquelle elle s’était emmitouflée. Lui-même avait ôté ses vêtements rendus humides par la fraîcheur du soir, pour passer une simple chemise. Il se mit à frotter vigoureusement, d’abord le dos de Thyris, puis ses bras. Lorsqu’il arriva sur le ventre, il adoucit ses mouvements et caressa, toujours avec force, en de ...
... grands mouvements circulaires. La jeune femme devenait molle, elle s’appuyait langoureusement sur son compagnon. Celui-ci pensait de moins en moins à la réchauffer. Il se morigéna intérieurement, et lorsque la peau douce fut tiède sous ses mains, il remit la couverture sur les épaules de Thyris, et s’installa entre ses jambes. Il les lui frotta avec énergie, les deux poings fermés allant et venant le long des cuisses, et il ne pouvait s’empêcher, par moment, de buter contre la toison blonde. La jeune femme ne protestait pas, et il sentait son propre sexe sursauter à chacune de ces incursions.
Contre son mollet s’appuyait un petit pied glacé. Il se recula, prit les deux pieds de Thyris pour les poser sur ses cuisses. Il frissonna au contact. Il les cajola, les câlina, les sentant se réchauffer peu à peu. Pendant ce temps, son regard ne quittait pas la fourche de la jeune femme, légèrement voilée par la couverture. Elle ne grelottait plus, son visage avait repris des couleurs. À regret, il abandonna son poste. Elle leva la tête vers lui, les lèvres entrouvertes.
Il ne résista pas et l’embrassa.
Ils roulèrent, accrochés l’un à l’autre. Les mains de Thyris parcouraient le corps de Fyrag, et lui essayait, vainement, de garder la tête froide. Les mains, le corps tiède de la jeune femme, ses fesses rondes, ses seins dont il sentait les pointes dures contre son torse… Il l’embrassait à en perdre le souffle, elle haletait, ondulait. La peau si tendre des cuisses frottait contre ...