Le dédale libertin - Histoires de Sexe

Le dédale libertin

... griffant la poitrine : à votre tour de jouir. Et toi, je veux que tu me remplisses le cul de ta queue et que tu éjacules toi aussi tes 20 centilitres de foutre.

Elle se retourne vers Catherine et lui pince le téton droit entre le pouce et l’index.

— Toi, tu vas te faire emmancher par le Maître par son gode sur perceuse, et tu veux gueuler ta joie pendant que je m’occuperai de ta laiterie. Tu vas jouir, ma fille, par le con et ta poitrine comme jamais !

Maître Al prend ma laisse et m’emmène au fauteuil gynécologique. Là, une poche de solution saline est accrochée à une paterne ; Alain s’équipe de gants chirurgicaux et sort une aiguille hypodermique d’une poche stérilisée.

— Tu vas connaître un truc très particulier, spectaculaire, mais qui – s’il ne se fait qu’occasionnellement et de façon raisonnable – n’a pas de conséquences, sauf de connaître une sensation sympa.

Et il m’enfonce l’aiguille au niveau du scrotum plus une pompe à vide sur ma verge. Puis, se penchant vers moi :

— Je t’ai mis une petite quantité. Le but, c’est que tes couilles ne soient pas gonflées pendant 24 heures ; une heure suffira. On te laisse, mon biquet. Tu as intérêt à être dur comme du bois tout à l’heure : Maîtresse Joyce fantasme sur ta bite, et tu n’as pas intérêt à la décevoir, sinon…

Pendant ce temps, Catherine est installé sur une sorte de table de massage en Y percée au niveau de la poitrine ; les jambes, elles, sont fixées sur les deux pattes du Y. Sa poitrine dépasse ...

... maintenant de l’autre côté et Joyce lui installe des pompes à vide englobant la généreuse poitrine de notre amie.

Joyce va frotter sa chatte sur la bouche de Catherine, Alain prend alors une perceuse équipée de sa reproduction phallique et lui demande :

— Alors, chérie, prête pour cinq minutes à 200 tours/minute ? C’est parti !

Et Catherine beugle sa jouissance. Joyce est face à moi. Ma bite est droite comme un I, mes couilles gonflées de la solution, certes, mais aussi de jus qui ne demande qu’à être expulsé. Joyce se penche sur la queue et la coiffe d’un préservatif muni d’un réservoir XXL. Puis m’enfonce un gode-poire dans le rectum, puis elle m’enjambe, la poire à la main et me dit :

— Je vais danser sur ta bite.

Et comme un cavalier de rodéo, accrochée à la laisse qui pend toujours à mon cou, elle fouette mes flancs, ses cris se mêlant à ceux de Catherine qui en redemande.

Joyce poursuit son rodéo ; Alain a détaché Catherine et libéré sa poitrine. Ses tétons sont à près de 3 cm ; des pinces les décorent. Elle est guidée par Alain vers la raie dégoulinante de suc de Joyce qui s’escrime sur ma queue qui est restée d’acier ; et soudain, à genoux sur mes cuisses, Joyce expulse sa jouissance. Elle profite de sa position pour m’arracher le condom et se jeter sur mon gland, non sans avoir hurlé :

— Jute ! Je veux ton jus ! Graisse-moi les amygdales !

Ce que je fais avec délectation moi aussi dans un cri qui vient de l’intérieur. Joyce déglutit et conserve un ...