Le dédale libertin - Histoires de Sexe

Le dédale libertin

... croix d’Henri, le détache et l’amène en direction d’un siège de gynéco installé face à nous, lui attache les jambes dans les étriers et le corps au fauteuil.

— Tu aimes les gros calibres ? Eh bien Maîtresse Joyce va t’en donner !

Joyce plonge ses mains gantées de caoutchouc dans un bain de graisse médicale de couleur blanchâtre.

— Mon chéri, tu vas connaître un pied comme tu n’as jamais connu.

Elle s’installe entre ses jambes tendues à l’extrême et commence à faire pénétrer ses doigts puis son poignet dans le fondement de notre ami Henri qui, manifestement, à la taille de sa bite libérée de la tige se déploie, la cordelette qui lui enserrait les couilles ayant été enlevée, rien ne retiendra sa jouissance, sinon le préservatif installé sur son gland. Les doigts de Joyce massent sa prostate.

— Profite, Henri ; vas-y, profite : je vais te faire jouir du cul comme jamais tu as joui. Tu vois la capote qui referme ton gland ? C’est pas loin de dix centilitres de sperme frais qui vont s’y répandre et qui va servir à nous désaltérer et à graisser ton conduit lorsqu’Alain va te matraquer.

Méthodiquement, Maîtresse Joyce poursuit le massage anal de notre ami. De son autre main, elle maintient la capote sur le gland de notre ami, et tout à coup ce dernier exprime dans un cri :

— Je jouiiiiiiiiiiiiis !

Un flot blanchâtre et compact remplit le condom.

— Bravo, mon chéri, je suis fière de toi.

Joyce déverse le foutre dans une flûte à champagne et en déverse la ...

... moitié dans sa bouche puis roule une pelle à Henri.

— Bravo pour ton cadeau ; il y a très longtemps que je n’ai pas fait juter autant un mec. Je peux t’assurer que tu vas vivre une expérience inoubliable avec Alain, qui est aussi un sourcier, et que tu vas rejuter tout à l’heure autant. Allez, à toi Alain ; à toi de l’essorer.

Alain s’avance et fait couler le reste du verre sur ses doigts pour huiler le conduit d’Henri, puis reverse le reste sur le condom qui habille son phallus monstrueux, et progressivement ce dernier s’enfonce dans le conduit de notre ami. Une sarabande de 10 minutes époustouflantes commence, digne des pornos les plus hards ; l’incroyable se reproduit : la capote maintenue par Joyce se remplit à nouveau, Henri hurlant sa jouissance.

— Putain, je n’ai jamais autant joui de ma vie ! Que c’est bon… ah, que c’est bon.

Alain le détache et Joyce lui amène un peignoir, une serviette chaude parfumée et un thé au gingembre, puis par la main l’emmène sur un sofa. Comportement à 180° de Maîtresse Joyce redevenant Dame Jocelyne.

— Marie, à toi de vivre des sensations.

Alain, une laisse à la main et un martinet dans l’autre se dirige vers la croix de Marie.

— Alors ma chérie, à toi de connaître des sensations que tu souhaites depuis toujours et que tu n’as jamais osé franchir. Maître Alain va t’accompagner à les assumer ; ce que tu vas vivre avec nous aujourd’hui restera une expérience unique. À genoux, et d’abord suce-moi !

Afin d’accélérer le ...