Le dédale libertin - Histoires de Sexe

Le dédale libertin

... mouvement, Alain tire sur la laisse.

— Bien, mais tu pourrais mieux faire.

Il se place derrière Marie et laisse tomber la cravache sur les fesses de Marie.

— Je veux t’entendre compter.

Marie, peu habituée à ce traitement, commence à se rebeller ; un second coup, puis un troisième retombent sur ses fesses.

— Tu disais ? Plus fort, je n’ai pas entendu.
— Un…
— Bien. Tu vois que cela commence à venir ; on y va pour dix.

Les coups de martinet vont rosir progressivement les fesses de ma belle qui, je le sais, attendait de vivre une expérience de cette nature depuis des années sans jamais avoir osé aller plus loin ; là, elle est pour le moins gâtée. Puis sans ménagement il la traîne vers un banc que Joyce a installé à côté du fauteuil. Ce banc est équipé de deux godes montés sur pistons. Marie y est installée par Maîtresse Joyce, qui profite de l’occasion pour poser sa vulve sur la bouche de Marie.

— Délecte-toi de mon jus, Marie. Je veux sentir ta langue me fouiller à la vitesse des godes qui vont t’investir. Prête, Marie ? Imagine que tu es dans un grand huit et que cela ne va pas s’arrêter : tu vas jouir par tes trous comme jamais. C’est parti !

Les pistons, à concurrence d’un mouvement par minute, actionnent des godes de 25 x 5 cm –copies du phallus d’Alain – dans la chatte et l’anus de Marie. La cadence passe maintenant à 2 par minute ; une sensation de bien-être sur le visage de ma compagne que me renvoie un écran panoramique me permet à moi et à ...

... Catherine de suivre sa jouissance. Henri, installé dans le canapé, suit également cette montée progressive. La chatte de Joyce suinte de plus en plus sous les coups de langue de Marie ; nous sommes maintenant à 4 par minute, soit un aller-retour tous les 15 secondes. On perçoit les gémissements de Marie étouffés par la chatte de Joyce, qui visiblement prend un pied monstrueux. 8 par minute, puis 12, puis 16, puis 20 par minute… Les pistons, eux, ne faiblissent pas, et soudain un geyser d’eau et de cyprine s’échappe de la chatte de Joyce devenue fontaine sous la langue de Marie qui expulse dans un cri sa jouissance :

— Arghhhh… Putain je jouis… Arghhhh !

Les pistons décélèrent la cadence ; Alain détache Marie et la prend dans ses bras pour la baigner dans une serviette chaude, Joyce la ramenant aux côtés d’Henri. Ma belle a un sourire radieux et embrasse langoureusement Joyce et Henri.

— À toi, Catherine. Pour toi, nous t’avons réservé une jouissance mamellaire.
— Et pour toi, Joseph, une paire de couilles de la taille d’une balle de criquet.

Maître Al et Maîtresse Joyce viennent tous les deux à nos croix ; c’est que cela fait maintenant plus d’une heure que nous sommes ainsi installés, plus d’une heure que ma bite est coincée avec cette tige dans l’urètre et mes couilles ligotées, Catherine supportant ses deux godes qui, il est vrai, ne fonctionnent pas à la même vitesse que pour Marie tout à l’heure.

— Alors, comment vont les tourtereaux ? dit Joyce ; et, me ...