Le dédale libertin
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
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Auteur: Patoune, Source: Revebebe
... de chocolat » et attendent avec impatience de découvrir la suite. Alain se met à genoux derrière Joyce et défait la ficelle de son string, nous permettant de découvrir un sexe décoré de bijoux accrochés aux grandes lèvres de la sublime Joyce ; celle-ci fait de même avec son compagnon, et petit à petit c’est un sexe de près de 25 cm sur 5cm qui apparaît progressivement sous nos yeux.
Alain revient avec six petits tubes de verre (type échantillon de parfum).
— Tenez, mes amis ; buvons cet élixir qui va nous permettre de découvrir de nombreuses joies sexuelles pour les prochaines heures.
Il joint le geste à la parole, Joyce en même temps. Avec un grand sourire, elle nous dit :
— À vous.
Nous nous regardons. Au point où nous en sommes, allons-y, nous verrons bien ; nous vidons le flacon. Une douce sensation de chaleur se diffuse dans notre corps, une sensation de devenir quelqu’un d’autre. Je sens mes bourses se gonfler, se serrer. Ma queue forme une arabesque en semi-érection, les pointes de seins de nos compagnes se tendent, leurs tétons sont presque à un centimètre. Catherine de s’exprimer :
— Marie, je ne sais pas, mais moi je sens ma chatte qui dégouline de cyprine.
Ce sont les derniers mots que nous entendons. Nos jambes devenant lourdes, nous nous asseyons à même le sol et nous tombons dans un sommeil ouaté.
Nous nous réveillons. Nous sommes tous les quatre attachés chacun à une croix de Saint André installées en carré, ce qui fait que nous pouvons ...
... tous les quatre constater notre situation. Combien de temps sommes-nous restés inconscients ? Je ne le sais pas.
Nous avons été revêtus de cuir ; néanmoins, nos intimités sont à nu, nos culottes percées aux endroits de jouissance. Je baisse les yeux pour distinguer qu’une tige été enfoncée dans mon urètre, que mes couilles sont ceinturées par une cordelette, et qu’un gode monté sur vérin explore mon fondement. En tout cas, à trois mètres de moi, Henri est dans la même situation. Des pinces décorent nos tétons. Les filles ne sont pas mieux loties, avec un système de vérin équipé de gode qui s’enfonce à la vitesse d’un métronome dans leur chatte et leur anus. La bonne nouvelle, c’est que cette jouissance n’est pas à sec pour elles : un jet de lubrifiant est propulsé régulièrement sur les godes.
L’usage de la parole nous est pour l’instant impossible, un bâillon à boule a été installé.
— Depuis combien de temps, vous vous dites ? À peine 30 minutes. Bienvenue dans notre donjon ! Vous vouliez vivre des sensations fortes ? Vous allez en vivre, chacun votre tour, sachant que vous n’avez qu’un mot à dire pour que cela s’arrête ; ce mot est « rosebud ».
Joyce de prendre la parole :
— Henri, c’est toi qui ouvre le bal, et je vais m’occuper personnellement de toi.
Les croix sur lesquelles nous sommes installés sont montées sur des rails ; un truc incroyable se produit : elles se déplacent, et nous nous retrouvons sur une ligne. Joyce s’approche avec une laisse de la ...