Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant - Histoires de Sexe

Madeleine, prof dévouée, femme fidèle, à un tournant

... l’être. Mais je n’en ai éprouvé aucune gêne. Il m’avait mise à l’aise. Et je n’ai pas eu pour autant envie de lui. Je lui dirais qu’en revanche, la veille, j’avais eu envie de mon mari, mais qu’il était parti précipitamment, sans un regard pour moi.

J’ai bien cru qu’il allait pleurer en m’écoutant. Il s’est approché de moi par derrière pour me prendre dans ses bras, m’embrasser dans le cou, me caresser les seins, me palper les fesses. Mes mains appuyées sur la table, j’ai incliné mon corps pendant qu’il relevait ma jupe. J’ai senti ses doigts fouiller mon intimité déjà brûlante de désir, ou plutôttoujours brûlante de désir puisque – je dois bien l’avouer – si c’était Peyo qui m’avait caressée ainsi, je crois que je l’aurais laissé faire ; je crois que je l’aurais laissé me pénétrer. J’ai senti le sexe de mon mari progresser dans ma vulve offerte. Il m’a baisée ainsi, tendrement, m’arrachant des soupirs pour une fois non feints. Il a approché son visage du mien.

— Tu aimes ?
— J’adore…
— Tu es très mouillée…
— Oui, je dégouline.
— Tu aimes ma queue ?
— Oui.
— Dis-le.
— J’aime ta queue.
— Tu aimes que je te baise ?
— Oui, mon amour. J’aime que tu me baises. Baise-moi fort.
— Et la queue de Peyo, tu l’aimes ?
— Arrête ! Baise-moi !
— Tu voudrais qu’il te baise lui aussi ?
— Non : c’est toi que je veux.
— Dis-moi que tu voudrais qu’il te baise…
— Non.
— Dis-le-moi !

En principe, ça aurait dû me couper mes envies, ses demandes salaces ; mais ...

... curieusement, ça avait plutôt l’effet inverse. Je lui répondais non, mais en vérité c’est oui que j’aurais voulu crier. Mais je n’ai pas pu lui résister bien longtemps.

— Je vais t’attacher et il viendra te baiser.
— Arrête. Je vais jouir.

Il s’est arrêté net, restant au fond de moi bien au chaud.

— Ça t’excite que je te parle de lui ?
— Arrête.
— Dis-moi la vérité. Ça t’excite, non ? Tu ne mouilles jamais comme ça. Dis-moi : ça m’excite aussi.
— Si tu veux.
— Si je veux quoi ?
— Je veux bien dire ce que tu veux, mais baise-moi.
— Dis-moi que tu as envie de lui, alors.
— J’ai envie de lui.
— Envie très fort ?
— J’ai envie de lui très fort.

Mon mari a repris ses mouvements, lents mais puissants. Dire ce qu’il me demandait de dire m’a excitée encore davantage. Il devait sentir mes sécrétions couler le long de ses bourses. Mes seins étaient devenus douloureux tellement ils étaient durs.

— Tu aimerais qu’il te baise ?
— Oui, j’adorerais qu’il me pénètre. Baise-moi plus fort…
— Tu le laisserais jouir dans ta chatte ?
— Je ne sais pas.
— Dis-le.
— Oui : je voudrais qu’il me baise et qu’il jouisse dans ma chatte, qu’il me remplisse de sperme !
— Ça te ferait jouir ?
— Ouiiiiiiiiii, je jouiiiiiis, continue ! Continueee…

Il s’est tu. Moi aussi. Nous nous sommes retrouvés sur le canapé à nous caresser amoureusement. Ça faisait si longtemps que je n’avais pas joui si fort, joui tout court d’ailleurs.

Quand je me suis réveillée, je l’ai regardé dormir. Nous ...