Le cul de Lucienne
Datte: 09/10/2018,
Catégories:
fhh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
massage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
yeuxbandés,
fouetfesse,
init,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... comprends et je partage l’excitation intense qu’il provoque, mais pour ma part, je préfère le cul… manifeste, celui que l’on peut apprécier ouvertement et à souhait.
— Peut-être, mais ça vous a au moins soulagé la grappe non ? Vous allez peut-être pouvoir penser à autre chose maintenant, non ?
— Je vais essayer, c’est le moins que je puisse vous promettre, mais je ne suis pas sûr de pouvoir respecter ma parole très longtemps. Que diriez-vous d’aller dîner.
Nous sommes allés dîner dans un petit resto italien où, leprosecco aidant, je n’ai pas pu tenir ma promesse au-delà du « secondo piatto ». Il faut dire que le serveur regardait avec grand intérêt les deux admirables culs dorés qui ornaient ma veste. Intérêt qu’il partageait avec la poitrine frémissante de Suzon qui, sous l’effet du mêmeprosecco, semblait déborder de désir.
— Qu’aviez-vous en tête en m’offrant le cul de votre amie ?
— J’avais envie de vous faire plaisir, voilà tout.
— Vraiment ?
J’ai décroché la broche pour l’observer plus attentivement.
— C’est vraiment un très beau cul, moins émouvant que le vôtre bien sûr, mais néanmoins très séduisant. Ferme, musclé, avec un raie bien droite jusqu’à l’extrémité des fesses, une raie qu’il ne me déplairait pas d’écarter pour voir ce qu’elle cache. Regardez, on distingue les premières rondeurs du con et le début de la fente qui les sépare. Un magnifique travail, vraiment. Merci pour le cadeau.
— Si ce n’est pas indiscret, cela vous a pris quand cette… ...
... adoration du cul ?
— Oh, c’est une longue histoire, ça va vous embêter, je vous assure.
— M’embêter ? S’il y a bien quelque chose que je ne risque pas de faire avec vous, c’est de m’embêter. Je meurs d’envie de découvrir comment on devient fessophile.
— Cela remonte à mon enfance. Entre 15 et 16 ans, après l’école, j’allais attendre chez une voisine que mes parents reviennent de leur travail.
J’ai donc commencé à lui raconter comment Lucienne, la voisine, m’avait involontairement initié au culte du derrière.
Comme vous pouvez l’imaginer, elle avait une paire de fesses qui, lorsque je les ai vues pour la première fois, me paraissaient énormes. Elles étaient moulées dans un jean « extra slim » comme en portaient les filles dans les années soixante. Ma mère étant plutôt du genre « modeste du cul », c’était sans doute la première fois que je réalisais, qu’en dehors des mamelles nourricières dont ma bouche gardait encore le souvenir, les femmes étaient dotées d’une autre paire de rondeurs, bien plus intrigante que la première. Et celles de Lucienne savaient être intrigantes. Qu’elle porte un pantalon, une jupe ou une robe, je ne l’ai jamais vue autrement que la taille serrée, comme pour mettre en évidence cette courbe fascinante qui démarrait à la taille pour s’élancer presque à l’horizontale et chuter aussitôt, tantôt dans les plis de la jupe ou la robe, tantôt pour dessiner dans le tissu du pantalon, un arc de cercle merveilleux qui se terminait brusquement juste au sommet ...