Le cul de Lucienne - Histoires de Sexe

Le cul de Lucienne

... grotte inondée, dans un bruit de succion. Je ne savais pas quoi faire, regardant René d’un air un peu paumé.

— Je reviens mon amour, ne bouge surtout pas.
— Je ne pourrais pas aller loin, rassure-toi.

René m’a entraîné hors de la chambre, la queue encore emballée dans le préservatif alourdi par mon sperme.

— Alors ? Ça t’a plu ? C’était la première fois, pas vrai ?
— … oui et c’était merveilleux. Je ne sais pas comment vous remercier, René.
— Ce n’est rien, c’était notre cadeau d’au revoir et je suis content qu’il t’ait plu.
— Vous voulez dire que… Lucienne… savait que j’étais dans la chambre.

Il a éclaté de rire.

— Elle le savait, mais elle ne veut pas que toi tu le saches. Pour elle, tu es toujours le petit Jacques qui faisait ses devoirs sur la table de la cuisine et elle ne veut pas te voir autrement. Alors, il ne faut pas que tu lui montres que tu es au courant, ça lui ferait trop de peine. Ce sera notre secret, d’accord ?
— D’accord.

Je suis parti vers ma chambre tandis qu’il disparaissait dans la sienne pour rejoindre sa délicieuse et si généreuse épouse. Je me souviens avoir dormi comme un roi, d’un sommeil paisible et profond, probablement peuplé des images du corps de Lucienne. J’allais les quitter pour toujours le lendemain, mais ce qu’ils m’avaient donné était tellement fort que je savais qu’il m’accompagnerait pour toujours. J’ai embrassé Lucienne sur le pas de la porte, posant un chaste baiser sur ses deux joues, mêlant les larmes que nous ...

... ne pouvions pas retenir, convaincu que notre nuit d’amour serait l’unique et la dernière.

— … et…
— Et quoi ?
— Ça a été la dernière ? Vous ne l’avez plus jamais revue ?
— Non.
— …
— Dites donc, vous savez raconter des histoires vous. Vous devriez écrire des romans pornographiques, comme cet Esparbec.
— C’est gentil mais je suis loin d’avoir son talent.
— En tous cas, pour ce qui me concerne, j’ai trouvé votre petit récit particulièrement excitant et, si ce n’était pas trop vous demander, j’aimerais que vous m’aidiez à apaiser le feu qui continue à me consumer les fesses et le minou. Vous voulez bien ?
— Vous savez que je ne peux rien vous refuser.

Nous sommes donc rentrés chez elle et elle a voulu que je lui bande les yeux et que je lui lie les mains, nue sur son lit, comme Lucienne plus de trente ans plus tôt. J’ai donc revécu avec Suzon mon unique rencontre charnelle avec le corps et le cul de Lucienne, répétant les mêmes gestes, sentant monter le même désir dans le corps offert de ma jeune partenaire qui m’a presque supplié pour que j’assène une nouvelle fessée sur son derrière encore rosé du traitement infligé quelques heures plus tôt.

Une heure plus tard, je m’écroulais sur le cul de Suzon, comme je l’avais fait sur celui de Lucienne.

— Merci…
— C’est moi qui vous remercie pour m’avoir laissé revivre une seconde fois mon unique rencontre avec le cul de Lucienne. Mais je dois vous laisser à présent, j’ai une classe tôt demain matin et je dois encore ...