1. Le cul de Lucienne


    Datte: 09/10/2018, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral pénétratio, fsodo, jeu, yeuxbandés, fouetfesse, init, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... était trop. Ma queue, que j’avais sortie de sa prison lorsque René avait baissé la culotte, s’est agitée brusquement sous l’effet des vocalises de moins en moins discrètes de Lucienne. Un puissant jet de sperme a brusquement jaillit de ma bite d’ado. J’ai maladroitement essayé de retenir le liquide tiède entre mes doigts tout en m’en allant précipitamment vers les toilettes, tandis que les vocalises de Lucienne disparaissaient sous la musique d’« Un cavalier qui surgit lors de la nuit… ».
    
    Lorsque je suis revenu dans le salon après m’être nettoyé les mains et le zob, René était assis devant la télé avec sur les lèvres, un sourire béat que je ne connaissais que trop bien.
    
    — Alors, l’épisode t’a plu ?
    — C’était sans aucun doute le meilleur de la série !
    
    Nous avons ri comme deux gamins venant de faire une bonne plaisanterie, et nous avons eu du mal à nous arrêter lorsque Lucienne a fait son apparition dans le salon. Nous regardions tous les deux fixement l’écran de la télé, n’osant pas affronter son regard, René pouffant intérieurement de rire et moi-même, partagé entre l’idée de rire avec lui et celle de disparaître comme par magie pour ne pas avoir à affronter le regard de Lucienne. Elle a éclaté de rire à notre plus grand soulagement.
    
    — Pas un pour sauver l’autre à ce que je vois ! Vous faites une belle paire tous les deux !
    
    Elle est venue s’asseoir entre nous dans le divan, nous prenant tous les deux par l’épaule pour nous serrer contre elle, et nous sommes ...
    ... resté à regarder la télé tous les trois, jusqu’à ce que mes parents ne viennent me chercher, à mon plus grand regret.
    
    Quelques jours plus tard, mes parents m’ont annoncé que nous allions bientôt déménager dans une grande maison entourée d’un parc magnifique où je pourrai inviter tous mes copains de lycée, j’ai failli m’évanouir. J’ai pâli brusquement avant de m’enfuir pour m’enfermer dans ma chambre à leur grand étonnement.
    
    Ça a été mon premier chagrin d’amour, un chagrin si profond que je pensais que je ne m’en remettrais jamais, envisageant de fuguer ou même d’en finir si je devais perdre mes rencontres avec le cul de Lucienne. Mes parents n’ont jamais su la raison de cette mélancolie qui m’accompagné durant de longs mois après notre déménagement.
    
    Lucienne a été plus perspicace, il faut dire que je ne pouvais pas lui cacher la vérité.
    
    — Allons, ce n’est pas si grave et puis, tu verras, tu vas bien t’amuser dans ta grande maison.
    — Je m’en fiche de la grande maison. Je n’ai pas envie de déménager, voilà tout.
    — Mais ce n’est pas parce que tu déménages qu’on ne se verra plus. Tu reviendras nous voir et puis, tu nous inviteras un jour chez toi avec René, non ?
    
    Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et j’ai éclaté en larmes, un chagrin profond que je voulais partager avec elle. Elle m’a pris la main pour m’entraîner vers le salon et s’asseoir sur le divan à mes côtés. Elle a pris mon visage couvert de larmes et l’a posé sur sa poitrine. J’ai continué à pleurer ...
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