Adjointe dans tous les sens : chapitre 1
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
pénétratio,
Auteur: SurfSound, Source: Revebebe
... Elle souffla, puis démarra le moteur. L’horloge du tableau de bord affichait 21 h 30. Fixée sur sa conduite, faisant attention car un peu pompette, elle était tiraillée dans tous les sens : sexuellement d’abord, de ne pas avoir joui ; son clitoris encore gonflé ne demandait que la libération, elle était frustrée. Ensuite, elle se trouvait coincée entre les sentiments d’excitation d’avoir assouvi un vieux fantasme de coucher au bureau, sur un bureau, mais de l’autre elle avait couché avec son patron, et en cela elle violait sa propre règle d’éviter de mélanger sexe et collègues de travail.
La route qui la menait à son appartement était courte, mais pas assez pour qu’elle ne puisse se faire un embryon de réponse, une petite liste d’éléments sur ce qui avait pu l’entraîner dans cette affaire, ou plutôt ce qui avait fait qu’elle s’était laissé faire : bestialité, frustration sexuelle, alcool…
En se garant devant la jolie résidence privée, elle prit la décision suivante, en accord avec sa conscience : demain, au travail, elle ne ferait comme si rien ne s’était passé, repousserait poliment toute avance éventuelle de son patron.
Malgré tout, dans l’ascenseur, la jeune cadre continuait de cogiter. Pour se détourner elle-même de ses pensées, elle regarda son téléphone jusqu’à être arrivée devant sa porte. Entrée dans son spacieux et moderne appartement, elle jeta clefs, téléphone et veste sur le sofa. Retirant ses chaussures, elle ne rêvait à présent que d’un bon bain ...
... chaud et de se détendre, lumière éteinte, avec juste quelques bougies en guise d’éclairage.
Entrée dans sa salle de bain d’un style moderne et épuré comme le reste de l’appartement, elle mit à couler l’eau du bain puis se figea devant une glace. Après quatre ou cinq secondes à se regarder dans le miroir, à voir sa belle robe souillée, à penser à ces coups de reins ravageurs, elle sortit de sa léthargie. D’un mouvement rapide elle dégrafa le haut de la robe. Accompagnant les attaches lorsqu’elle les retira, elle libéra ses mamelles qui s’entrechoquèrent presque, très légèrement. Elle descendit ensuite l’étoffe bien humide et ayant une odeur de sexe, attrapant au passage son string – lui tout simplement trempé – et posa ses vêtements dans le panier à linge sale.
Elle se contempla à nouveau dans le miroir, satisfaite de provoquer autant d’excitation chez les hommes malgré sa trentaine passée.« L’exercice et la diète, cela paye ! » se dit-elle en riant et en touchant ses fesses très légèrement dodues et son ventre qui avait perdu un peu de fermeté au fil des ans. À quelques centimètres du miroir, son beau corps blanc étincelait dans la lumière homogène de la pièce. Deux belles jambes, une toison légère au bas du ventre, deux seins honorables sur lesquels elle apercevait un peu de Charles, avec deux beaux tétons pointus et roses qu’elle trouvait jolis bien qu’à la forme peu homogène… C’était somme toute le genre de trentenaire que tous les hommes désireraient. Revenant à la ...