Adjointe dans tous les sens : chapitre 1
Datte: 06/02/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
pénétratio,
Auteur: SurfSound, Source: Revebebe
... seins. Elle recouvrait à présent intégralement le ventre, mais c’était tout.
Le claquement des peaux continuait ; il la limait sur le bureau, le vagin trempé relâchant lui aussi des petits bruits. Marie n’en pouvait plus. Elle sentit la jouissance monter et rebascula en arrière pour poser doucement sa tête sur le meuble.
Au terme de cette poignée de secondes de bestialité qui dégageaient une chaleur et une odeur typique dans la pièce, l’homme ne pouvait plus se retenir. Quelques allers-retours seulement, pour lui ce n’était pas assez ; il voulait continuer, mais il sentait son sexe au bord de l’explosion. Le plaisir physique, bien sûr, celui de la pénétration, mais également la beauté de sa partenaire, le sentiment de sa domination, mais également l’identité de cette femme sous lui. Il allait donc finir, accélérer encore ses coups de reins. Il se saisit du bassin de sa partenaire pour commencer le sprint final. Il ne voulait qu’une seule chose : jouir au plus profond de son adjointe.
Marie, les bras en arrière, complètement livrée à cet homme, ses pensées rationnelles ne pouvant dépasser la demi-seconde avant d’être écartées par le plaisir, fut sortie de sa torpeur et de la montée du plaisir annonçant un orgasme imminent par la combinaison du fait qu’elle sentit Charles accélérer, le vit ouvrir la bouche, et surtout ce sexe se durcir encore plus en elle – cette sensation que bien des femmes connaissent avant l’éjaculation de leur partenaire – le gros gland raclant ...
... encore plus les parois de son intérieur.
Son esprit reprit alors le dessus ; elle eut la lucidité de se rappeler qu’elle ne prenait aucun moyen de contraception, utilisant des préservatifs avec tous ses partenaires. En une seconde, elle imagina le risque de tomber enceinte, ce qui l’effraya. Une seconde de plus, et elle se redressa difficilement de sa position allongée, toujours prise d’assaut par le plaisir, les yeux se fermant tout seuls, pour repousser fermement Charles en lui disant, essoufflée :
— Attends ! Tu ne dois pas…
Elle n’avait pas fini sa phrase et à peine fini son geste, que le gros membre imprégné de son fluide d’amour à peine sorti de sa caverne et dressé devant son pubis, à deux centimètres d’elle, elle vit le visage de Charles libérer de longs râles assez éloquents malgré la noirceur de la pièce.
L’homme eut juste le temps de comprendre qu’il était repoussé. Le choc thermique sur son pénis aidant, son membre explosa, libérant sa semence à l’air libre en grosses contractions. Il attrapa aussitôt la bouche de Marie pour l’embrasser et étouffer ses râles, celle-ci ne répondant pas vraiment cette fois, car essayant d’analyser rapidement la situation dans la pénombre. Trois secondes de plus durant lesquelles elle sentit chacune des convulsions de l’homme, et il se décolla d’elle, doucement, l’embrassant rapidement encore un peu sur la bouche, puis sur les joues.
Trois très longues secondes de silence suivirent.
— Désolé, dit-il. Euh… Attends, je ...