1. Adjointe dans tous les sens : chapitre 1


    Datte: 06/02/2018, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail pénétratio, Auteur: SurfSound, Source: Revebebe

    Marie, 30 ans, était une femme que beaucoup enviaient, y compris ses amies.
    
    Assumant et appréciant autant sa vie de célibataire qu’elle était épanouie professionnellement puisqu’en avance sur son plan de carrière (directrice adjointe d’une entreprise deweb marketing en province), elle était une de ces femmes modernes, libres et indépendantes, une de ces femmes formées par la sérieSex And The City.
    
    Véritablejob addict, elle prévoyait cependant toujours des créneaux dans son agenda pour voir ses copines, aller au pub, se détendre et prendre soin d’elle. Sa vie intime était assez plate, mais de temps à autre entrecoupée de coups d’un soir, histoire de nourrir la bête. Une situation qui lui convenait assez bien. Et puis, un jour, elle saisit l’occasion d’en avoir plus, régulièrement, devenant presque autantsex addict quejob addict.
    
    Tout a changé un jeudi soir. En cette fin d’après-midi, son employeur organisait une réception dans les spacieux locaux de l’entreprise, avec partenaires et clients. Marie devait y tenir un rôle-clef, puisqu’adjointe du boss. Ce dernier, Charles de son prénom, était tout sauf quelqu’un que ses employés appréciaient. Pas de haine, mais juste une certaine rancune et méfiance envers ce toujours bel homme de 55 ans, toujours tiré à quatre épingles, à l’allure athlétique malgré son âge, mais qui était vulgaire avec tout le monde, exigeant, et parfois irrespectueux.
    
    Marie ne dérogeait pas à la règle, mais son rôle lui imposait de toujours ...
    ... sourire. Malgré le bel homme qui la commandait, presque deux fois plus âgé qu’elle, elle était toujours professionnelle au point de rarement remettre en cause le jugement de son supérieur hiérarchique. De plus, elle arrivait à l’apprécier un peu, dans le sens où c’était un de ces hommes à femmes : grand, viril, toujours impeccable, et inaccessible. D’ailleurs, elle changerait son opinion en bien, rapidement.
    
    La soirée commença vers 19 heures. Tout le monde était là, une cinquantaine de personnes. Charles faisait le tour des invités quand il aperçut Marie qui arrivait, un peu en retard. Elle avait dû courir pour rentrer chez elle, gérer un rendez-vous avec le décorateur de son appartement, prendre une douche, s’épiler rapidement les aisselles et les jambes, enfiler sa robe noire, deux boucles d’oreilles et sa veste pour retourner au travail en quatrième vitesse. Charles ne manqua pas de montrer sa montre à Marie pour lui montrer son mécontentement, elle répondit par un sourire gêné et un haussement d’épaules, en mimant un « désolée ».
    
    Les cinq années de travail irréprochables pour l’entreprise lui évitèrent plus que cela. Charles profita du fait qu’elle serrait la main aux invités pour la scanner de la tête aux pieds : Marie, 1,70 m, corpulence normale, brune, cheveux courts, la peau blanche, portait une robe intégralement noire par-dessus des bas noirs assez opaques. Partant du niveau des genoux, la robe épousait parfaitement ses hanches fines, avec un nœud sur le côté droit ...
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