Prendre sa respiration
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
cocus,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... Il est vrai que de ce côté-ci le sable est plus grossier et se dépose vite. Je nage ma brasse pas coulée du tout dans sa direction. Soudain elle réapparaît face à moi, tel un diable hors de sa boîte. Ses lunettes lui font un visage étrange. Nous sommes face à face, Ondine face à un terrien. Elle avance d’un pas, ses lèvres cherchent les miennes, son corps se love contre le mien. Malgré l’élément liquide, je sens sa chaleur. Elle est mutine, audacieuse, et ses mains ne restent pas inactives. C’est agréable de se laisser faire. Elle me caresse les fesses, et bien vite une main se glisse entre elle et moi pour venir tester ma virilité. Mon sexe, s’il n’est pas totalement rabougri par une eau trop froide, n’est tout de même pas ce mandrin que ces simples caresses, sur la terre ferme, auraient déclenché. Mais pas une remarque de Martine qui pourrait se moquer ! Non, au contraire elle le cajole doucement. Je sens que je gonfle, mais je suis un peu dépité de ne faire mieux. C’est con ! Je serai ridicule et j’aurai honte de ne pouvoir mieux satisfaire le fantasme de Martine. Mais elle me libère. Son corps glisse dans l’eau et bientôt elle disparaît.
Voilà, j’ai merdé, et mon épouse abandonne son triste mari, flageolant comme les nudistes dont elle se moque. Pourtant elle est encore là. Je sens ses mains sur mes jambes, sur mes cuisses, sur mes hanches. On dirait qu’elle s’accroche, et en me penchant je vois qu’elle… Ohhhhhh, sa tête qui… Une chaleur, et mon sexe semble ...
... emprisonné. Je comprends que Martine vient de se saisir de ma verge pour la prendre dans sa bouche. Mieux, la pression de ses lèvres me fait comprendre qu’elle me gobe totalement. Cette idée m’excite. Jamais Martine ne m’a fait pareille fellation. D’habitude elle me pompe le gland et lèche la queue, mais pas plus. D’accord, ma queue n’est pas encore déployée et… mais si, je me sens raide et gros. En quelques secondes, cette bouche sous-marine a fait un miracle ! Pourtant je sens encore les lèvres contre mon ventre et je vois de petites bulles trouer la surface.
Elle remonte, mais c’est juste pour reprendre son souffle. Ma queue retrouve la tiédeur de cette gorge. Elle me suce et me pompe. Ce n’est pas possible, ce n’est pas la même qui me suçote d’habitude : ici, c’est une gorge profonde qui m’accueille. Je bande fort, et peu importe l’eau fraîche ou pas, ma bite sait reconnaître un traitement de faveur.
Martine – car c’est elle –, c’est bien elle qui remonte encore avant de plonger. Ses mains sur mes fesses sont les points d’appui qui lui permettent d’avancer et reculer sur mon mandrin, de plus en plus dur, de plus en plus gros, de ces bois flottants que l’on trouve sur les plages, mais encore vivants et frémissants de sève. Et puis elle remonte pour ne plus redescendre. Elle s’accroche à moi, ses jambes enveloppent ma taille, et avec ferveur elle se laisse redescendre pour que mon mandrin trouve le chemin de sa chatte. J’entre comme si j’avais longuement léché le minou en y ...