1. Manoeuvres au noir


    Datte: 05/10/2018, Catégories: ffh, fffh, couleurs, extracon, fépilée, douche, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    ... lumières noires du camarade Marcel. On voit tous les détails de la blonde. De multiples tâches de sperme tracent une route imaginaire allant de son entrejambe à sa belle bouche charnue. Même carte de géographie sur ses cuisses, devant comme derrière. Tu parles d’une sieste, mon pote !
    
    La belle empoigne un carré de savon dont tu as déjà vu la pub à madame Chou-fleur sur ton écran 16/9ème. C’est vrai qu’elle ressemble un peu à Claudia, en y regardant bien.
    
    Le carré imparfait, puisque c’est un rectangle, disparaît dans la foufounette. Elle se penche et vlan ! Voilà le glissement entre les fesses délicatement martyrisées. On insiste sur la tuyère. C’est vous dire si elle a servi ! Écartement des quilles. Vue panoramique sur une prune sans poil (c’est meilleur). Bon sang, on dirait qu’elle fait son show, la Florence.
    
    Quoi ? comment je sais son blaze ? Ah oui, c’est vrai que j’ai oublié un détail. C’est bien de la femme de Jésus dont il s’agit. Je ne l’avais pas reconnue tout de suite étant donné qu’elle est à loilpé et que d’hab, on ne voit que son beau sourire soutenu par les illustres bulles, comptoir oblige. C’est la taille et le mouvement circulaire de ses miches en or qui l’ont trahie. Son sourire flashe sous la puissance bleutée et les valises qui équipent le seuil de son regard en disent long sur les performances pratiquées dans la communauté loftesque.
    
    Dans la Chambre pas jaune et sans mystère, il fait noir de monde. Les activités festives vont bon train ...
    ... renforcé par une promiscuité de qualité supérieure, label pur porc.
    
    Encadré par mes statues burkinabées, je lutte contre les bouffées de chaleur. Les serviettes de coton se rident et facilitent mon emprisonnement au paradis à quatre seins. Quelle douceur, cette peau ! Quelle ferveur, ces bouches ! Une voleuse de bites qui passait par là, par hasard et à quatre pattes m’aspira le manche reléguant ce qui me servait de robe de chambre à une grosse ceinture de coton. Si t’as jamais essayé, je te le recommande chaudement. C’est délirant. Tu ne tiens pas dix minutes.
    
    L’heure de vérité avait sonné. Pas de Madelon au loft. Je pris congé de mes amies devant la porte avec un regard attendri pour les sonnettes décoratives. Promis, juré, on se revoit bientôt.
    
    Un parfum de soupe julienne et de viande grillée emplissait la cage d’escalier. Devant ma porte, je m’acharne en vain à introduire la clé dans une serrure qui dit non. Mon esprit est toujours aux entrepôts du nord. Revenant sur Terre, je me rends compte que la porte est ouverte. Madelon ?
    
    — Ah ! Tu es là, mon chéri !
    — Mais, ma belle, d’où viens-tu ?
    — Ben, de chez ma sœur, tiens. Pourquoi ?
    — Tu étais chez ta sœur ?
    — Bien sûr, gros bêta ! Où veux-tu que j’aille d’autre ? Et en plus, t’as pas lu mon mot !
    
    Bien tournée, n’est-ce pas la question. Encore une ruse féminine, dirons-nous.
    
    — Ah oui, et tes petites culottes, hein ? Tu es partie sans, comme ça. Sans raison !
    — Mais mon chou, c’est TOI qui ne veut plus que ...
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