1. Le voyeur du parc


    Datte: 13/01/2018, Catégories: fh, couple, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... bouche, de le lécher, de le déguster…
    
    Je sens que cela lui plaît à la façon dont il se tortille ! Et moi, j’adore sa sucette de chair bien raide et frémissante ! Oui, j’aime être une grosse dévergondée à mes heures… et autres épithètes comme gourgandine, perverse ou même salope…
    
    Soudain, j’entends comme un petit bruit devant moi. Sans lâcher la queue que j’ai en bouche, je lève un peu le nez pour découvrir furtivement un visage qui commence à m’être familier. Mon jeunot veut jouer les voyeurs ? Pas de problème, je vais te lui en donner, moi, du spectacle !
    
    Déployant tout mon art en la matière, je confectionne une longue et suave sucette à mon homme. Je sais qu’il adore ça, et moi aussi. De plus, mon voyeur semble apprécier ce que je suis en train de faire subir à cette belle queue bien dressée ! Je parie qu’il voudrait que je lui fasse la même chose ! Eh bien, non, c’est mon mari qui en profite !
    
    Quoique… je me demande : si mon jeunot osait sortir de sa cachette, bite à l’air, qu’est-ce que je ferais ? Je pousserais des hauts cris ? Je le sucerais quand même ? Bonne question ! À bien y réfléchir, c’est une histoire de contexte et de feeling… En général, je dirai non, il n’y a qu’un seul homme avec qui je fais des grosses cochonneries. Mais je reconnais que parfois, une petite digression, ça fait du bien…
    
    En attendant qu’il se passe peut-être quelque chose, je lèche, je suce, je tète, je suçote ce bâton de chair qui est à mon entière disposition, tandis que ...
    ... mon mari me caresse les cheveux, jouant avec quelques mèches. Je l’entends qui soupire d’aise, sa tige frémissante dans ma bouche m’indique clairement qu’elle se contient comme elle peut, histoire de faire durer le plaisir.
    
    Durant tout ce temps, mon voyeur n’en perd pas une, et vu certains frémissements, je parierai qu’il est en train de se branler. Tu peux, mon coco, tu peux ! Et la suite va te faire cracher tout ton jus !
    
    J’ôte de ma bouche la queue de mon mari pour lui annoncer :
    
    — Je veux aller sur toi !
    — À ton service !
    
    Je me relève, je remonte ma jupe, présentant mon cul nu au bosquet où est caché mon voyeur, et sans trop de préambules, je m’assieds sur la bite bien raide de mon homme. Son engin entre en moi avec facilité, largement aidé par une chatte détrempée, parce que moi, dans le sexe, je ne fais pas semblant, contrairement à certaines !
    
    C’est alors que commence une folle cavalcade, moi fichée, empalée sur cette belle queue qui me fait tant de bien ! Avide, mon mari capture mes seins, les faisant rapidement jaillir à l’air libre, les caressant, les pétrissant, les malaxant, tandis que je m’agite comme une vulgaire fille de joie autour de son joystick, autour de son pieu bien ancré en moi, bon gros pieu autour duquel je pivote, je virevolte, je m’agite, je tressaille. Dieu que c’est bon ! Trop bon !
    
    Tu nous as suivis, petit voyeur ? Tu vas en avoir plein les mirettes !
    
    C’est carrément un rodéo que je m’offre, bien embrochée sur mon homme. Je ...