1. Le voyeur du parc


    Datte: 13/01/2018, Catégories: fh, couple, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... chatte, j’ai très envie !
    — Oh non alors ! Tu serais trop contente ! Lève-toi, on va continuer notre promenade.
    
    Boudeuse, je m’exécute en tentant toutefois de poser une main sur sa braguette, main qu’il chasse aussitôt. Tandis que je me relève, il en profite pour me mettre une petite tape sur les fesses. Furtivement, je regarde autour de moi, puis je soulève ma jupe :
    
    — Oui, oui ! Donne-moi une fessée, mon amour ! Vas-y, je suis une très vilaine fille qui n’a pas mis de culotte ! Allez, donne-moi une fessée !!
    
    Surpris, mon homme met un certain temps avant de réagir :
    
    — C’est pas vrai, mais tu es déchaînée aujourd’hui ! Allez, remets ta jupe en place correctement, et crois-moi, quand on rentrera, tu l’auras ta fessée, et même deux !
    — Maintenant ! C’est maintenant que je la veux ! Maintenant !
    — D’accord, alors on rentre !
    — Ah non !
    — Bon, on va marcher un peu, en espérant que ça te calme, et si ça ne suffit pas, le premier cours d’eau que je vois, je te jette dedans ! Là, je suis sûr que ça te calmera !
    — C’est ce que tu crois, parce que, quand j’ai envie, j’ai envie !
    — Allez viens, Miss Chatte-En-Chaleur.
    
    Nous avançons tranquillement. Sentant une présence, je tourne la tête, et là, je découvre dans un bosquet un jeune homme qui nous regarde. Jeune, peut-être pas, mais il m’a semblé être jeune. Tout de suite, je me dis qu’il a dû voir le spectacle. Peut-être pas, car nous étions un peu loin, il a simplement vu que j’avais levé ma jupe et c’est tout. Et ...
    ... puis comme on dit, « un cul vu, n’est pas perdu »…
    
    Tout le long du chemin, j’asticote mon bigot de mari, je le pelote, je lui pince les fesses, je passe même carrément ma main dans son pantalon. Mais dès que je vois quelqu’un au loin, j’arrête, histoire de lui faire voir que je sais quand même de me tenir, puis l’alerte passée, je recommence de plus belle, une fois qu’il n’y a plus personne. Je vois bien qu’il essaye de se contenir, qu’il fait des gros efforts, mais la bosse dans son pantalon m’indique clairement qu’il aime ça ! Amusée par cette situation, je souris, lui demandant effrontément :
    
    — Tu vas savoir résister jusqu’à la maison ?
    — Bien sûr, j’ai un très grand contrôle sur moi-même, et laisse-moi te faire remarquer qu’en général, quand un couple se promène dans un parc ou un bois comme nous le faisons, c’est souvent l’homme qui prend l’initiative de peloter sa partenaire et pas l’inverse.
    — Tu sais que tu retardes d’un siècle ou deux ? Et quand l’homme ne fait rien et que la femme a une énorme envie, qu’est-ce qui se passe ?
    
    Il me regarde en souriant :
    
    — Elle se contrôle comme moi, en ce moment, pour ne pas passer pour une obsédée.
    — Tant pis ! Car moi, je suis une obsédée, une obsédée de ton petit cul bien ferme, de ta bite bien juteuse, et j’aime ça ! Allez, fais-moi voir que tu es un gros salaud comme la plupart des hommes, et viens me prendre dans les buissons, là, tout de suite !
    
    Et je chantonne aussitôt :
    
    Celui qui me sert (hélas) de mari ...
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