1. Du piment en pleine campagne


    Datte: 04/10/2018, Catégories: Première fois Auteur: Thèretu, Source: Hds

    ... nouveau dans la grange, et que je fais ce que j'ai à faire, le soleil fait place à la pluie qui tombe par averses.
    
    - Monsieur Guillaume ? m'appelle une voix que je reconnais...
    
    C'est elle. Sur le pas de la porte de la grange. Ses cheveux sont tirés en arrière, son t-shirt est trempé, je vois une fois encore ces seins blancs que j'ai envie de gouter, des gouttes de pluie ruissellent sur son front et sur ses longues jambes dorées.
    
    - Qu'y-a-t-il, Justine ?
    
    Pour toute réponse, la jeune fille ôte d'un mouvement gracieux son haut. Elle est à présent nue devant moi, à l'exception d'une petite culotte en coton blanc d'où s'échappent une légère toison blonde.
    
    - Mais, que fais-tu ? Dis-je, l'air sûrement aussi éberlué qu'un jeune premier.
    
    - Je... Je crois que j'aimerais que vous me fassiez l'amour, me répond-elle avec une assurance à laquelle j'aurais crue si sa lèvre inférieure n'aurait pas tremblé sous le coup de l'émotion.
    
    N'y tenant plus, je me dirige d'un pas décidé vers elle. J'attrape son visage entre mes mains brunes que j'ai grandes, et je l'embrasse avec fougue. Comme je m'y attendais, ses baisers lui ressemblent : à la fois prudes et sensuels, timides et voraces. Je sens ses mains contre mon dos, et les miennes viennent agripper ses gros seins, en pinçant parfois ses tétons, ce qui a pour conséquence de lui laisser échapper des petites plaintes consenties. Je m'arrache avec douleur de sa bouche, mais bientôt je retrouve avec joie ses mamelons que je ...
    ... lèche avec application. Mes mains attrapent fermement ses fesses, et bientôt je sens qu'elle écarte sans s'en rendre compte ses cuisses. Alors, tout en baisant son ventre, je descends vers sa petite chatte toute rose qui perle de mouille, et je lèche, je suce, je croque son clitoris gonflé. Ses mains fourragent dans mes cheveux, je la doigte de deux doigts experts.
    
    - Baise-moi ! me supplie-t-elle.
    
    - Tu veux que je te baise ?
    
    - Oui, comme... Comme une petite chienne !
    
    La lionne serait-elle devenue chienne ? Qu'à cela ne tienne, je la repousse dans le foin, elle écarte les jambes, me dévoilant sans pudeur aucune son intimité. Elle me regarde dans les yeux, sans ciller, en suçant d'abord mon index. Alors, je la pénètre sèchement, et mes va-et-vient varient au rythme de ses cris, de ses jouissements. Sa chatte est serrée, ses hanches sont larges, ses seins énormes, son ventre doux, ses lèvres pulpeuses : je ne sais plus où donner du regard, où donner de la tête. Je veux tout attraper, tout posséder, tout manger. Je la baise sans retenue, mais avec respect, avec dévotion, presque : ce corps est de ceux à qui l'on veut tout donner. Et elle-même ne se contente pas de recevoir : elle ondule, fait le serpent, croque comme une lionne, griffe comme un chat.
    
    Et c'est ce combat de mâles alpha similaire au jeu de séduction préliminaire à toute relation, lorsque la joute verbale excite les deux parties qui chacune souhaite à la fois vaincre et être vaincue, qui déclencha chez ...