1. Un voyage


    Datte: 04/10/2018, Catégories: hplusag, grosseins, groscul, Collègues / Travail pénétratio, fantastiqu, aventure, Auteur: Talaff, Source: Revebebe

    ... Je connais ma vie, je sais qu’elle ne vous décevra pas, dit-elle en souriant.
    
    Elle resta muette un instant.
    
    — Mais ne croyez pas que cette cape va se rouvrir d’elle-même, par contre !
    
    Le forgeron la regarda dans les yeux, au fond du rouge de ses pupilles, puis lui arracha soudain son vêtement, qu’il jeta au sol. Le tissu glissa sur la peau de Delilah, luisante de sueur dans la chaleur de la pièce.
    
    — Viens… murmura-t-elle en posant une main sur la nuque de l’homme.
    
    Elle tira sur son string, fort, et lâcha brutalement la lanière, qui claqua contre ses fesses, fendant l’air d’une détonation sèche. Elle recommença, souriant comme une prostituée, heureuse de voir que le forgeron se caressait l’entrejambe en la regardant. Elle recommença. Encore. Encore. Encore, se mordillant les lèvres. Lacker, sans cesser de la regarder, alla verrouiller la porte.
    
    — Nous sommes fermés, dit-il.
    — Et moi je suis ouverte, répondit Delilah.
    
    Elle lui sauta dessus, enroulant ses bras derrière son cou et ses jambes autour de sa taille. Ses mamelles se compressèrent entre leurs deux corps, et leurs lèvres se touchèrent. La jeune femme commença à onduler du bassin, massant la queue du forgeron de son string de cuir. Lacker mit une main sous les fesses de Delilah et les caressa fermement. Elle le regardait avec un sourire fou, son souffle caressant le visage buriné de l’artisan. Puis elle retira l’une de ses mains du cou de l’homme, se tenant plus fermement de l’autre, et la glissa ...
    ... contre son sexe. Elle tira à nouveau sur son string, plus fort, encore plus fort… Le cuir lui déchirait presque le sexe, la pénétrait… Et soudain, il craqua, et elle montra le string déchiré devant elle avec un sourire fier.
    
    — De mieux en mieux… grogna Lacker, posant ses lèvres sur celles de Delilah et l’embrassant furieusement.
    
    La jeune femme enfonça sa langue soyeuse entre les lèvres de l’homme et tapissa sa bouche, ses dents, sa langue, tout, de sa salive sucrée. Puis elle se retira et lui lécha lentement les lèvres, laissant son goût partout sur lui. Lacker attrapa la langue de la jeune femme entre ses dents et sourit avant de la forcer à revenir dans sa bouche. Ses mains caressaient toujours les fesses de Delilah, et sa queue était si dure que son gland jaillissait hors de son pantalon. Delilah lui massa le cou à nouveau, serrant ses cuisses autour de la taille du forgeron et, sautillant légèrement contre lui, sentait sa queue pousser contre sa chatte rasée à chaque mouvement. Puis, avec un mouvement soudain et brutal, elle pressa le visage de l’homme contre sa poitrine, et cria :
    
    — Lèche, salaud. Lèche.
    
    Il résista une seconde, puis laissa son visage s’enfouir entre ces deux globes. Il commença à lui mordre un téton.
    
    — HAN ! cria Delilah, surprise par l’habituel mélange de douleur et de plaisir qui était finalement le cœur de son art.
    
    Elle resserra ses bras autour du cou de Lacker, collant son visage contre sa peau. L’une des mains du forgeron quitta les ...