1. N comme Nudité


    Datte: 03/10/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... elle. Il me fait un cadeau à chaque fois qu’il sait que je vais venir pour déjeuner ou dîner : une fleur, un livre ou un DVD. Je l’aime bien.
    
    Mes parents ont divorcé quand j’avais douze ans. Et Philippe n’est pas le premier mec de ma mère avec qui je couche. Le premier, j’avais treize ans. Il s’appelait Ludo. Ma mère était au boulot et il regardait la télé au moment où j’avais traversé le salon en culotte, les seins à l’air. Mais avec Philippe, les choses se sont déroulées différemment. C’était un dimanche. Nous avions bien mangé et bien bu, mais ma mère a dû partir au boulot. Elle est infirmière et travaille la nuit. Je me suis retrouvée toute seule avec Philippe, devant un feuilleton à la télé. C’était en fin de journée. Je n’aurais pas dû m’attarder, mais finalement j’ai pris un autre verre de kir. C’était un feuilleton américain complètement débile, alors nous avons discuté un peu, Philippe et moi. On s’entend bien, mais c’était la première que je me retrouvais seule avec lui. On n’avait jamais vraiment parlé. On a pris un autre verre et Philippe m’a dit :
    
    « Fais gaffe avec les contrôles sur la route. »
    
    Je lui ai répondu :
    
    « Ne t’inquiète pas, je pense que je vais rester dormir ici. »
    
    Ma mère n’a jamais touché à ma chambre depuis le début de mes études et l’année où j’ai pris un studio en ville. La déco est intacte. Tout est intact, y compris les posters punaisés aux murs, mes peluches de gamine et quelques affaires de fin d’adolescence. Je me sens bien ...
    ... dans cette chambre. C’est un peu comme si j’y avais rendez-vous avec le fantôme de moi-même. Alors j’ai pris un autre verre de kir, et un autre encore. Nous étions tous les deux assis dans le canapé, Philippe et moi, et on se fichait complètement du programme télé. On picolait et il me regardait de façon de plus en plus insistante. Ce jour-là, je portais une chemisette blanche, un jean noir moulant, un soutif noir en dentelle et la culotte assortie. Je savais qu’il voyait mon soutif.
    
    Et on a bu, encore et encore.
    
    Puis grignoté un peu.
    
    Jusqu’au moment où je lui ai dit que j’avais sommeil. Je me suis levée et suis allée dans la salle de bains. A la sortie, j’étais complètement à poil et je me suis approchée de Philippe pour lui dire bonne nuit. Ses yeux étaient grands ouverts comme ça. Il a regardé mes seins, puis ma chatte. Ensuite, il a relevé les yeux vers mon visage en disant :
    
    « Mais qu’est-ce que tu fabriques, Manon ? »
    
    J’ai pris l’air de ne pas comprendre et répondu :
    
    « Ben quoi ? »
    
    Il a dit :
    
    « Ben, tu es toute nue… »
    
    « Ah pardon, ai-je dit. C’est une habitude. »
    
    Je me suis penchée pour lui faire une bise sur la joue. Puis deux.
    
    Je me suis redressée et il a dit :
    
    « Manon, bon sang… »
    
    Je lui ai souri et, naïvement, je lui ai dit :
    
    « Ben quoi ? »
    
    Il m’a regardée assez longuement avant de réagir. Il m’a examinée de la tête aux pieds, ou plus exactement des seins à la chatte. Puis il a fait non de la tête, avant de me dire :
    
    « ...